Doucement, nous avons tout notre temps - Histoires de Sexe

Doucement, nous avons tout notre temps

... par le plaisir déjà ressenti. — C’est bien, tu te donnes à moi. Tu ne vas pas le regretter ma belle. Je ne crois pas que David ait pu te donner le plaisir que je vais t’offrir.— Ne parle pas de lui, lui dis-je dans un souffle. Nous sommes juste toi et moi.— Oui, ma chérie, toutes les deux. Je sentis ses mains se poser sur ma chatte à la pilosité réduite, puis ses doigts écarter ma fente pour découvrir mes muqueuses. Elle marqua une pause. Elle devait détailler ma vulve ouverte. J’aime me trouver dans cette situation d’impudeur totale, je me sens indécente et j’y trouve du plaisir. Alors, la bouche, la langue et les doigts de Karine jouèrent une véritable symphonie sur mon clitoris, mes grandes et petites lèvres et même jusqu’à l’orée de mon anus. Les sensations étaient sublimes, magnifiques, extraordinaires. Elle me pénétra avec deux doigts m’arrachant un cri de surprise et un râle de contentement. Je mouillais énormément et par moments Karine me lapait le sexe comme un petit chien tout en me pelotant les seins. J’ondulais sous l’effet de ses caresses, de ses baisers et de sa langue agile. J’ai joui une première fois en restant la plus silencieuse possible, mais un instant après j’eus un second orgasme qui, là, m’arracha un hurlement de jouissance. J’avais l’impression que mon plaisir ne s’arrêterait jamais, qu’il continuerait et que je ne pourrais plus redescendre de ce sommet de jouissance. Enfin les vagues successives de plaisir se calmèrent. La sensation était étrange, ...

... j’étais à la fois totalement dévastée, tout en éprouvant une plénitude, une sorte de béatitude. Lorsque j’ai ouvert les yeux, Karine me regardait. — Tu es magnifique lorsque tu jouis.— J’ai envie de te faire jouir comme tu l’as fait avec moi.— Je ne demande pas mieux, je suis terriblement excitée.— Je ne sais pas si je vais savoir te donner autant de plaisir que tu m’en as donné, je ne sais pas comment faire.— Je suis certaine que tu sauras faire, n’aie aucune crainte. Est-ce que tu te masturbes ?— Oui, dis-je timidement étant plus pudique dans mes propos que dans mon apparence. Oui, je me masturbe souvent, très souvent.— Très bien, donc tu connais les zones les plus sensibles d’une femme. Et puis je serai là pour te guider ou rectifier le tir si tu hésites ou que tu es malhabile. Lance-toi, c’est au milieu de la piscine qu’on apprend à nager. J’avais terriblement envie de la dévorer, de goûter à sa peau, de lui peloter les seins, de venir m’abreuver à la source de son sexe. J’étais comme une folle. C’est Karine qui a calmé mes ardeurs : — Doucement Cindy, doucement, nous avons tout notre temps. J’ai donc ralenti l’allure, malgré l’extrême désir d’aller voir son sexe. Je me suis dirigée lentement en baisotant sa poitrine et son ventre vers sa fente d’où sortaient ses petites lèvres. Enfin j’avais devant moi cette vulve joufflue, déjà humide et accueillante. Jamais je n’aurais imaginé que je puisse être attirée ainsi par une chatte, moi qui aimais tant les queues : les voir, les ...