1. Ma femme est une salope !


    Datte: 07/02/2020, Catégories: h, fh, extracon, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, 69, hdanus, hsodo, init,

    ... prenait son pied… J’avais du mal à y croire… Et en plus, quand c’est moi qui le réclamait, légitimement, elle me le refusait … pas de m’enculer, non, mais simplement de me sucer… Inimaginable ! Ah ! La rogne que j’avais. Heureusement, au coin de la rue, il y a mon troquet favori. Je m’y suis précipité. J’ai avalé au moins trois Cognac, coup sur coup. Le patron, qui me connaît bien, c’est là où je fais mon tiercé le dimanche, m’a dit que j’était tout pâle. Tu parles, Charles – c’est son nom – y avait de quoi être pâle… Mais j’ai pas pu lui raconter… Non, j’ai pas pu. Aucun mot ne sortait de ma bouche. J’en avais mal aux mâchoires, à force de serrer les dents pour ne pas hurler et mes mains tremblaient à force de me contrôler pour ne pas briser quelque chose. J’aurais bien cogné sur quelque chose, un arbre, un mur, un mec, n’importe quoi, juste pour me passer les nerfs, quoi ! Après plus d’un quart d’heure, et une grande respiration, j’ai pris mon portable pour appeler la maison. Solange m’a répondu presque immédiatement. Elle avait la voix enjouée, celle de tous les jours. Elle ne laissait rien paraître. Quand je lui ai dit que j’arrivais dans cinq minutes, elle n’a rien dit d’autre que « Tu fais bien de m’avertir, j’allais sortir ! » avant de raccrocher. Là, j’en suis resté le souffle coupé, de cette duplicité féminine. Je savais qu’elle venait de jouir, quelques minutes avant et au téléphone, elle semblait calme, tranquille. Impensable ! Pourtant, j’avais pas eu la berlue ! ...
    ... Non, j’avais pas rêvé. Je l’avais vu de mes propres yeux se faire sucer la chatte, alors qu’elle suçait et masturbait son amant avant de lui trouer le cul au moyen d’un énorme godemiché. Et elle me répondait comme si elle était en train de faire la cuisine. Sans me presser, je suis revenu vers la maison. Tout en marchant, j’ai cherché comment aborder le sujet. Je pouvais rentrer et lui balancer une paire de claques. Je pouvais lui faire la gueule. Je pouvais filer droit dans la chambre, préparer ma valise et me tirer. Je pouvais… je ne savais plus rien quand j’ai ouvert la porte et que je me suis retrouvé nez à nez avec ma salope de femme. Elle était là, pimpante, fraîche, remaquillée, recoiffée. Elle m’attendait. Elle m’a tendu ses lèvres pour que je lui applique un léger baiser, comme d’habitude, comme si rien ne c’était passé en mon absence. Et comme un con, instinctivement je l’ai embrassée. Je l’ai même embrassée plus fort que d’habitude, en la collant contre la cloison et mes mains sont parties explorer son corps, avec nervosité, tellement j’étais encore excité par la vision de son corps livré en pâture à son amant hantait encore ma mémoire toute fraîche. Mes mains sont remontées sur ses seins, encore lourds de plaisir, aux tétons également érigés et sensibles de ses propres caresses de tout à l’heure. Contre toute attente, elle n’a rien dit. Elle a accepté ma rudesse. En deux attouchements, elle a fondu sous mes doigts et s’est mise à miauler de plaisir. Mes mains sont ...
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