1. Ma femme est une salope !


    Datte: 07/02/2020, Catégories: h, fh, extracon, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, 69, hdanus, hsodo, init,

    ... allés trousser sa robe, arrachant littéralement sa fine culotte pour s’emparer du bombé de sa chatte épilée, si chaude et coulante de ses dernières galipettes. Sa fente était ouverte et bâillait son plaisir. Mes doigts la fouillaient, la farfouillaient. Ils cherchaient à localiser les traces de son amant. Sous leur intrusion, ses hanches se dandinaient, oscillaient, chaloupaient. Je l’ai branlée là, debout, appuyée contre la cloison. Elle s’est tordue de plaisir. Elle a trempé ma main. Elle a commencé à crier « baise-moi ! » quand, de mon autre main, j’ai fait descendre mon pantalon, pour qu’elle se rende compte que ma queue était raide d’excitation et de désir. J’ai arraché, malgré ses prières, ma main de sa chatte pour la forcer à s’agenouiller devant moi et me sucer, là, debout. À ma grande surprise, elle s’est exécutée, docilement. C’était même la première fois qu’elle était aussi obéissante, aussi coopérative. D’habitude, elle rechigne à me prendre dans la bouche ou ne le fait que du bout des lèvres, rapidement et sans jamais aller au bout de mon plaisir. Oui, mais d’habitude, elle a certainement moins de choses à se faire pardonner, cette salope. Là, à genoux devant ma queue, elle s’est surpassée. Elle m’a divinement sucé. Elle s’est appliquée avec la langue à venir faire le tour de la base de mon gland, en me fixant droit dans les yeux avec un air gourmand et goguenard. Rien que son regard, j’étais prêt à partir. Après, elle m’a avalé loin dans sa bouche et a ...
    ... longuement joué avec sa langue sur ma hampe de plus en plus excitée. Elle m’a infligé un rythme lent et profond, m’aspirant à chaque goulée un peu plus loin. Je l’ai aidée avec mes mains qui lui enserraient bien la tête. Et je suis allé jusqu’au bout de mon plaisir. Je lui ai bloqué la tête pour mieux lui envoyer ma purée au fond de la gorge, la forçant à me boire jusqu’au bout et l’incitant à continuer à me téter le sexe pour qu’il soit encore dur. Après, je l’ai forcée à se redresser, je l’ai faite pivoter et en roulant sa robe sur ses reins, je lui ai enfoncé Popaul entre les cuisses. Putain, qu’elle était chaude ! Une véritable chaudasse. Trempée, serrée, excitée. Elle n’avait pas dû se contenter seulement de la langue de son amant, ni de lui planter sa ceinture godemiché dans le cul. Elle l’avait aussi accueilli dans sa chatte, longuement et souvent parce qu’elle était encore toute enflée de plaisir. Avant de jouir, j’ai ressorti mon 19-6 pour le présenter à l’entrée de son petit trou. Lui aussi vibrait à mon approche et s’ouvrait comme une vraie fleur goulue. Sans la faire attendre, je l’ai enfilée d’un coup et d’une seule poussée. Elle avait la joue appliquée contre la tapisserie, les deux bras griffaient le mur. Elle mugissait, émettant des feulements rauques, longs et puissants. Et tout en lui empoignant les seins et en maltraitant ses tétons, je l’ai sodomisée jusqu’à ce que je me répande en elle, dans un long jet de foutre libérateur. Je vous dis pas ce que ça m’a soulagé. ...
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