1. Exhibitionniste


    Datte: 07/02/2020, Catégories: ff, fhhh, inconnu, campagne, voiture, autostop, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, facial, double, Partouze / Groupe aliments, humour,

    Roberta m’appelle, je suis invité à déjeuner chez elle. Elle m’attend vers 11 heures et me recevra nue, à la porte de son appartement. À moi de choisir si je prends mon appareil de photo et elle raccroche rapidement. J’imagine la scène, fantasme un peu, Roberta pour moi seul, enfin. Voilà plus de 2 mois que je tourne autour d’elle, que je la photographie, la visionne, la détaille sans aboutir à ce plaisir commun : faire l’amour. Elle me plait, son regard, comme dans un carrousel, fait apparaître tour à tour un air câlin, puis enjôleur, rieur, et tout à coup lascif. Elle possède une intelligence du corps, capable de faire attention à l’autre, puis de lâcher la bride sans aucune pudeur. En sa présence je me sens petit, soumis, et en même temps mis en valeur. Elle reste solide comme un roc, même dans des circonstances de soumission, on a toujours l’impression qu’elle dirige les débats. Physiquement parfaite, à mon goût, cheveux sombres entourant un visage ovale, grands yeux marron foncés, son sourire révèle deux fossettes au milieu des joues, son rire communicatif me fait craquer. Ses seins amples (du 95 ?) et bien tenus, sa taille relativement fine, un ventre légèrement bombé, une peau faiblement hâlée, des hanches proéminentes, un pubis soigneusement taillé en triangle, de longues jambes bien galbées, des pieds élégants. Mon imagination me retourne une image excitante. Suis-je quelque peu amoureux ? C’est tendu comme un arc, bandé au maximum, que je sonne chez Roberta. Je me ...
    ... retire un peu, ajuste mon appareil de photo et attends. Un petit instant de doute. Va-t-elle le faire ? Serais-je à la hauteur ? Se présentera-t-elle vraiment nue ou simplement habillée d’une robe de chambre entrouverte ? Encore un petit instant de patience et "elle" ouvre la porte à plein battant, dans la tenue d’Eve, triomphante. Je mitraille, lui demande de s’appuyer contre le montant de la porte, les mains levées ensembles, livrée à tous les voyeurs de la Terre. Elle sourit, se déhanche un peu, son corps légèrement incurvé sur le côté, une jambe un peu plus avancée que l’autre. Elle met en valeur sa plastique parfaite, ses seins remplissant le champ de vision, son triangle pubien proposé impudiquement. Elle se retourne, mains en l’air, agresse mon appareil de photo de ses fesses rebondies à souhait. Je jubile et reconnais la chance qui me sourit : un modèle parfait, docile, un peu lubrique, à ma disposition pour un après-midi et une soirée de rêve. « L’apéritif est servi, allons au salon », me dit-elle, enjouée, après m’avoir fait entrer. Je lui plaque mes lèvres avides sur la bouche, mes mains baladeuses trouvent des fesses à palper, un ventre à caresser, des poils à lisser, des seins à peloter et malaxer. Haletant, déjà presque à bout de souffle, je l’entends à peine me chuchoter: « Tout doux, mon beau, calme-toi, reprends tes esprits, faisons les choses en douceur. Prenons l’apéritif, toi habillé, moi nue, j’ai un tel plaisir à déambuler devant toi dans cette tenue, à ...
«1234...»