1. Exhibitionniste


    Datte: 07/02/2020, Catégories: ff, fhhh, inconnu, campagne, voiture, autostop, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, facial, double, Partouze / Groupe aliments, humour,

    ... voir ton regard allumé et plein d’envies. » Au niveau des désirs, mes yeux doivent en déborder, le fleuve de mes pulsions troubles m’empêche de voir toute la beauté du spectacle. Et elle déambule, virevolte, se baisse de face, de dos, se penche vers moi, me propose ses lèvres pour un baiser presque chaste, doux et voluptueux. Des frissons me parcourent l’échine. J’ai envie de crier, dire à l’Univers entier que j’existe. Je vois passer une fesse ronde, un sein comme une grande goutte d’eau, suspendu à de la chair douce à souhait, des poils foncés, peignés, alignés comme une vasque de fleurs, un nombril délicat incrusté de nacre, des lèvres pulpeuses et gorgées de sang. Roberta, toujours nue, me sert un repas gourmand, plein de surprises. Coquilles St-Jacques, qu’elle suce délicatement, entre et sort de la bouche comme une verge molle. Grosses asperges équivoques aux glands violets et tourmentés. Cardons introduits pour moitié entre des vulves d’épinard. Filet mignon entier, grosse queue molle, flanqué de deux pommes de terre nature en guise de bourses. Fromage mou, à odeur de cyprine, accompagné d’un pinot noir ("pine au noir") de derrière les fagots. Au dessert, des bananes entières flambées accompagnées de deux boules de glace vanille. La verge est à l’honneur, l’érotisme à son comble, j’ai même de la peine à suivre. Pour ajouter encore à l’excitation, et comme si cela ne suffisait pas, Roberta me propose des prises de vues en gros plan de son corps décoré de quelques ...
    ... légumes. Je m’affaire dans le frigidaire puis sur la table où elle a pris place. Je réalise quelques photos d’anthologie avec des demi-tomates évidées posées sur les pointes de ses seins en guise de soutien-gorge, un petit ruisseau d’huile d’olive coulant dans la vallée de ses fesses. Je casse un oeuf, pose délicatement, le jaune sur son pubis, le blanc dégoulinant sur ses hanches et son sexe. Elle saisit une banane, titille son clitoris, lèche soigneusement la hampe du fruit puis le plante dans sa vulve. Ses yeux deviennent lubriques, elle change de dimension et manœuvre un concombre de belle taille dans le même orifice. Son regard se trouble nettement, sa bouche esquisse un faible rictus. Elle descend de table, se dirige vers le balcon et me demande de la photographier ainsi à l’extérieur, au vu et au su de tout le quartier. « J’aimerais des photos dans la cage d’escalier, dans la cave, dans la chambre à lessive», continue-t-elle. Nous descendons quatre étages jusqu’au sous-sol de son immeuble, les photos réalisées, nous remontons. Elle désire faire des clichés devant la porte d’entrée de chaque appartement. Par chance personne n’a daigné montrer son nez jusqu’au quatrième. Au cinquième, positionnée devant la porte de l’appartement de deux demoiselles, et par inadvertance, elle s’appuie sur la sonnette. La réaction ne se fait pas attendre et l’une des dames, encore en robe de chambre à 14 heures (?), ouvre la porte, lance un petit: « Oh ! » et nous intime l’ordre d’entrer. « ...
«1234...»