Exhibitionniste - Histoires de Sexe

Exhibitionniste

... tord de plaisir, respire comme un phoque et décharge fortement toute sa tension sexuelle dans un râle obscène. Nous n’avons pas le temps de reprendre notre souffle que Tina amène Jenny au même point de non-retour. Tina, un peu frustrée, ne le reste pas longtemps, Roberta s’en occupe, de ses doigts de fée et d’un coup de baguette magique elle envoie les étoiles dans le cerveau de la belle. L’apaisement après la fête se passe en caresses douces et aimantes, en baisers furtifs, en petits coups de langues bien placés, puis se termine lentement dans un assoupissement collectif. S’il reste quelqu’un de spolié ici, c’est bien moi. Roberta, entrouvrant les yeux, s’en aperçoit, me fait un petit signe. Je m’approche, ouvre la braguette, sors mon braquemart qu’elle a vite fait de faire vibrer et juter en un long jet de sperme qui atterrit entre les deux pommes de ses seins. « J’aimerais que l’on réalise quelques photos exhibitionnistes », me dit Roberta, candide, lorsque nous sommes rentrés chez elle. Je fais un peu la moue, mais me plie à son jeu. Elle revêt son manteau de fourrure noir, parfaitement nue en dessous, nous prenons la voiture et sortons. Nous réalisons des photos "classiques" d’exhibitionnisme. Dans un parc souterrain, je dois la photographier sortant nue de la voiture, en faisant le tour, s’allongeant sur le capot. Dans un supermarché, elle entrouvre son manteau avec quelques clients en arrière plan. Elle se montre nue sur l’escalier roulant devant quelques clients ...

... éberlués et impuissants sur l’escalator inverse. Nue dans la rue, appuyée contre une voiture, devant l’entrée d’une banque. Elle décide ensuite de laisser tomber le manteau et marcher indifférente et dans le plus simple appareil au milieu de la foule. Un policier lui prie de s’habiller sous peine de verbalisation. Elle invente une histoire de spots publicitaires à réaliser avec son photographe préféré, qu’elle a reçu l’autorisation de la préfecture, etc. Elle arrive même à proposer un cliché de Roberta nue au bras du policier, à la condition que la photo ne soit pas publiée et qu’une copie lui soit transmise. Elle veut des prises de vues, jambes écartées, par-dessous la table d’un café bondé. Puis sirote une menthe parfaitement nue dans un bar. On ne passe pas loin d’un scandale lorsqu’elle entre dans un établissement bancaire dans le plus simple appareil. Le portier la renvoie manu military en profitant de la peloter au passage. Toutes ces situations exacerbent la sensibilité sexuelle de Roberta, elle ne sait plus quoi inventer. Un peu plus elle s’allongerait là, sur le trottoir ou sur un banc, et se ferait baiser par le premier passant venu. Nous partons à la campagne pour effectuer des prises de vues dans les bois, les champs, les chemins, avec pour seul point commun, la nudité. Plus le temps passe, plus elle se caresse devant l’objectif, son regard devient transparent de concupiscence. Revenant vers la ville par la route nationale, elle m’ordonne de m’arrêter, entrouvre la ...