Barbara et les Incas
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
fhh,
ffh,
hplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
avion,
fsoumise,
hdomine,
double,
sm,
BDSM / Fétichisme
Barbara se trouvait à plus d’un mètre du sol. Elle émergeait lentement, face à une terre humide, bien tassée, rougeâtre. Elle ne flottait pas, bien au contraire : la pesanteur exerçait sa force, plaquant son corps contre les sangles et harnais qui la suspendaient. Ils étaient reliés à un dispositif ingénieux de poulies dont les ombres, à la lumière du flamboiement des torches, lui permirent de se représenter la structure. Elle y occupait la place centrale, était exposée de toutes parts. La sensation douloureuse était certaine mais supportable, son poids se répartissant entre différents appuis. Sa peau en revanche était cuisante, striée par endroits d’une douleur nette et aiguë. Barbara reprenait son souffle, présumant que le répit serait de courte durée. Son esprit, engourdi, semblait privé de toute capacité d’analyse. Cet état ne pouvait résulter que de la saturation des stimuli physiques et émotionnels qui l’avaient traversée précédemment : elle était certaine de ne pas avoir été droguée. Avait-elle donné son consentement ? Elle ne se rappelait rien, mais ses sensations laissaient peu de doute quant à ce qui s’était passé. L’excitation dont elle avait vibré était encore présente dans sa peau, ses muscles, sa chair. Un certain plaisir, tendu et vif, continuait de se diffuser en ondes, provoquant un ruissellement le long de ses fesses et ses cuisses. L’écartement large des lèvres de son sexe témoignait de la belle taille du phallus qui l’avait possédée. Des vagues de ...
... contractions secouaient ponctuellement les muscles de son vagin, continuaient d’agiter cette bouche qui réclamait à aspirer et sucer, encore. Elle sentit alors la présence de l’homme. Il était adossé au mur, à quelques mètres, surveillant méticuleusement le retour à la conscience de sa jeune proie. Contrainte par les liens, elle n’aperçut lorsqu’il s’approcha que l’épaule gauche, et bientôt la poitrine, plutôt ample et bien faite. Les plis et le léger arrondi du ventre écartaient l’hypothèse qu’il pût être un athlète ou un jeune homme. Elle tenta vainement de redresser la tête pour identifier l’homme, mais ses entraves l’empêchèrent d’orienter son regard vers son visage, qui lui resta inconnu. Il avait disparu de son champ de vision depuis quelques secondes. Elle sentait qu’il s’affairait non loin et scrutait la projection floue de ses manipulations sur le mur de pierre. Soudain, les poulies se remirent en action, rehaussant lentement ses jambes tout en les maintenant écartées et repliant les genoux sur ses seins. L’afflux de sang dans ses joues la fit rougir violemment. Ces déplacements lui permirent d’entrevoir le sexe fabuleux qui l’avait honorée plus tôt. Il était colossal ! Digne des attributs dont les légendes dotent certains Noirs… L’homme, cependant, était blanc. Cette vision ne dura que quelques secondes : il s’était agenouillé entre ses jambes et déjà elle sentait le souffle sur son sexe. Il la caressa ainsi : distillant l’air chaud sur sa peau humide et excitée. ...