1. Barbara et les Incas


    Datte: 07/02/2020, Catégories: fhh, ffh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, avion, fsoumise, hdomine, double, sm, BDSM / Fétichisme

    ... Rapidement, la langue vint à son contact, flatta son clitoris, lécha ses lèvres déjà mouillées des précédentes jouissances. Puis elle s’enfonça en elle, lapant son intérieur, se délecta des parois dégoulinantes de son vagin avant de s’en extraire pour mieux laisser les lèvres aspirer le clitoris gonflé. Pendant de longues minutes il lui prodigua ce délicieux traitement, suppléant parfois la danse de sa langue des caresses d’un doigt. La poulie la remonta encore un peu, la pliant davantage et accentuant l’écartement de ses fesses. La bouche vient se poser cette fois directement sur son anus, l’humecta de salive et le força sans plus attendre avec sa langue. Elle reprit ensuite l’aspiration du bouton érigé, le majeur s’engouffrant dans la chatte toujours plus offerte, plus trempée. Le doigt poursuivit la remontée du sillon, s’enfonça dans son petit cul. Les muscles de Barbara, ses articulations et ses entrailles maintenus dans l’étau étaient agités de violents soubresauts et saccades de plaisir. Mais les liens l’empêchaient radicalement de se mouvoir, et les sangles resserrées par le changement de position mordaient plus fort sa peau. La contention et la douleur décuplaient les plaisirs de ses sens. Son sexe brûlait ardemment. L’index et l’annulaire pénétraient maintenant aussi son œillet distendu : les trois doigts pilonnaient de concert son rectum. Elle criait à la fois sa jouissance et sa souffrance, se laissant envahir par la déferlante des sensations qui submergeaient sa ...
    ... conscience. L’homme avait cessé son action sans qu’elle s’en rendît compte. Elle rassembla ses esprits et une immense panique l’envahit à la pensée de ce que l’homme pourrait lui administrer.« Impossible ! » pensa-t-elle : elle ne pourrait jamais recevoir un tel engin. Son cul allait se déchirer, écartelé par ce pal. Comme elle commençait à convulser de terreur, telle un insecte fragile paniquant dans les mailles de la toile, l’homme se pencha sur elle. À travers ses larmes, elle le reconnut : Daniel Constantin, celui qui avait conquis son esprit, objet inaccessible de son amour. Une voix guillerette retentit alors à son oreille : « France-Inter, il est 8 heures. ». Barbara essuya rageusement ses joues d’un revers de main et recouvrit son corps fiévreux du drap échoué au sol. —ooOoo— Au secrétariat de la Sorbonne, quelques heures plus tard, Barbara apposait sa signature au bas de la fiche d’inscription, véritable pari pour cette jeune femme d’apparence un peu timorée – ce qu’elle reconnaissait volontiers – : son espagnol laissait encore à désirer et elle avait ces dernières années peu quitté la sécurité de sa chambre de bonne du 18ème. Ce choix de poursuivre son cursus en terres sud-américaines, elle le savait, comportait son lot d’expositions aux risques, et signait un tournant de sa vie. Barbara quitta le bâtiment et remonta le boulevard Saint-Michel. Elle s’attarda devant la vitrine poussiéreuse d’un bijoutier, envisagea brièvement de s’acheter un sandwich chaud chez un ...
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