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Barbara et les Incas
Datte: 07/02/2020, Catégories: fhh, ffh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, avion, fsoumise, hdomine, double, sm, BDSM / Fétichisme
... encore dans la grisaille de l’hiver) ; sa jupette plissée mettait en évidence ses longues jambes aux cuisses fuselées, et le galbe de ses chevilles était accentué par l’attache fine de ses chaussures à talons hauts. La simplicité de son chemisier mettait en évidence l’échancrure où un pendentif à pierre d’émeraude accroché à une chaîne en or semblait plonger entre ses seins. Ses oreilles étaient elles aussi décorées d’un bijou semblable qui venait rappeler l’éclat de ses yeux verts. Elle ramena le conducteur à son cadre professionnel en lui indiquant qu’elle souhaitait se rendre à l’Antigua taberna Queirolo. Le taxi fila vers les avenues ; Barbara savait que le quartier duPueblo Libre où elle se rendait n’était pas trop éloigné. Elle avait un peu étudié le plan de la ville mais n’était pour le moment pas à même d’utiliser les transports en commun qui lui semblaient complexes et peu rapides. Ils longèrent l’université deSan Marcos où elle faisait ses recherches. Celle-ci, fondée au début du XVIe siècle, était la plus ancienne de l’Amérique et elle espérait que ses archives historiques très réputées pourraient aider ses études en croisant les découvertes archéologiques actuelles avec les textes rédigés lors de la conquête du continent par les Espagnols. La voiture traversa l’avenue du Venezuela et poursuivit en passant entre l’Université Catholique et le quartierSanta Emma. Quelques minutes plus tard, le taxi s’arrêta devant la taverne très typique et déposa sa passagère. ...
... Elle fit les quelques mètres qui la menaient jusqu’à l’entrée en sentant le pesant regard du chauffeur l’accompagner jusqu’à la porte. Loin de s’offusquer, elle retira un surcroît de confiance de l’effet qu’elle faisait sur ce mâle et bomba le torse en entrant dans l’établissement. La salle était sombre et enfumée (elle avait oublié ces ambiances que l’hygiénique Europe avait désormais interdites) ; elle scruta un moment les différentes tablées avant de s’apercevoir que Pedro l’attendait au comptoir. Celui-ci la matait avec un plaisir évident, et son sourire augmenta encore en la voyant se jucher sur le tabouret, les plis de sa petite jupe ne cachant de fait que l’extrémité du haut de ses cuisses. Barbara s’amusait de sa réaction de jeune coq ; il lui rappelait les dessins de Tex Avery. Par provocation, elle se pencha vers lui en laissant son décolleté bâiller un peu plus tandis qu’elle déposait une bise légère sur ses joues. Elle imaginait ses yeux sortant de ses orbites comme dans les bandes dessinées. Le jeune homme laissa passer son émotion et lui proposa en apéritif un cocktail à base de tequila, un peu fort mais délicieux. Elle accepta tout en se promettant de renoncer aux alcools pour le reste de la soirée afin de conserver un certain contrôle sur la suite des événements. Pedro se montra un charmant ambassadeur de la culture péruvienne ; il lui vanta le MuséeLarco qui se trouvait à quelques pâtés de maison d’ici dans lePueblo Libre et promit de le lui faire prochainement ...