1. Barbara et les Incas


    Datte: 07/02/2020, Catégories: fhh, ffh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail profélève, avion, fsoumise, hdomine, double, sm, BDSM / Fétichisme

    ... chez-toi ! lui souffla-t-elle à l’oreille. À peine la porte de l’appartement fermée, elle se serra contre lui, frottant son corps contre le sien, mordillant son cou, aspirant le lobe de son oreille. Elle se faisait chatte, allumant son matou pour le faire brûler de désir. Les mains du mâle avait repris le malaxage de la femelle, et il avait glissé une jambe entre celles de sa conquête pour permettre à celle-ci d’y frotter voluptueusement son sexe. Il avait l’impression de sentir à travers son jean l’humidité qui coulait de cette source de plaisir. Gardant l’initiative, elle déboutonna la chemise du fier Péruvien et caressa sa poitrine velue. Elle n’admira même pas les pectoraux et abdominaux que l’étudiant, sans être athlétique, entretenait consciencieusement. Son attention était avant tout attirée par ce volume de chair qui gonflait la braguette du jeune homme et que sa hanche venait frôler tandis qu’elle serrait sa cuisse contre son entrejambe. Elle résistait à l’envie de glisser sa main pour ouvrir le pantalon et libérer ce membre qui ne demandait qu’à se déployer. Elle reprit le dégrafage des boutons du vêtement qu’elle avait commencé à enlever en évitant de descendre jusqu’à la ceinture ; et dès que l’ouverture le lui permit, elle passa ses mains dans le dos de son amant en se serrant un peu plus contre lui. Ses ongles glissaient sur la peau à la limite de la griffure, descendaient des omoplates jusqu’au sacrum pour remonter le long de la colonne vertébrale. Pedro n’en ...
    ... pouvait plus de toutes ces sensations. Il n’était plus qu’une bête avide de sexe et de plaisir, toute réflexion, toute retenue lui étaient impossibles, son cerveau étant totalement submergé par la force de son désir. Il ouvrit son pantalon, sortit son sexe, écarta le string qui cachait sa cible et tenta de s’enfoncer dans cette chair brûlante et humide. Barbara ne voulait pas de cette fin brusquée, et elle tenait à conserver la maîtrise du plaisir de son jeune amant. Elle le repoussa, s’accroupit devant lui et avala sa queue tendue d’où suintait déjà la liqueur séminale. L’homme poussa un cri qui montrait bien que le changement d’orifice ne le décevait pas, en définitive. Il faut dire que sa maîtresse se consacrait avec ardeur et technique à sa nouvelle tâche. Elle branlait la base du pénis tout en pompant le gland avidement ; elle l’enfonçait au plus profond de sa bouche puis le ressortait lentement en le serrant fortement entre ses lèvres ; elle le léchait comme une glace, jouait à le faire tourner avec sa langue, titillait le méat avec la pointe de celle-ci, puis reprenait goulûment son aspiration comme une pompe qui voudrait le vider de son suc. Rapidement, les résultats prévisibles s’annoncèrent : l’homme gémissait, haletait. Quelques minutes à peine après le début de la fellation il se crispa, et sans retenue envoya de puissantes giclées de foutre au fond de la gorge de son amante. Sans surprise, car elle savait bien quelle serait la conséquence du traitement qu’elle ...
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