Barbara et les Incas
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
fhh,
ffh,
hplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
avion,
fsoumise,
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double,
sm,
BDSM / Fétichisme
... halètement de ses poumons. Tendue maintenant comme un arc, elle serrait ses mains entre ses jambes tandis que ses doigts lui assenaient les derniers va-et-vient. Elle retomba après un ultime cri, repue et heureuse de ce plaisir solitaire qu’elle s’offrait comme une revanche sur le machisme. —ooOoo— Marchant tranquillement du métro jusqu’à son restaurant préféré, le professeur Constantin était songeur. C’était la première fois qu’il dînait avec Rose, leurs rencontres s’étant jusque-là limitées à l’enceinte de l’université. Il avait été très étonné lorsque sa secrétaire lui avait annoncé qu’elle était libre pour la soirée (mari et enfants étant partis faire du ski pour le week-end) et qu’elle souhaitait passer ce moment avec lui. D’un ton protecteur, elle lui avait dit qu’il fallait qu’elle lui parle tranquillement, qu’elle voulait l’aider à réfléchir. L’œillade qu’elle lui avait ensuite adressée sous-entendait qu’il pourrait passer le temps autrement qu’en discussions, ce que sa frustration actuelle souhaitait vivement. Mais il était intrigué par ce changement de forme de leurs relations : Rose, amante dévouée et soumise, n’avait jusqu’alors jamais proposé de rencontres hors de leur cadre de travail. Arrivé un peu en avance, il s’installa à une table tranquille et dégusta un whisky en attendant son invitée. Depuis des années qu’elle collaborait avec lui, il pensait bien la connaître ; leurs relations étaient longtemps restées très professionnelles, et il appréciait son sens de ...
... l’organisation, sa vigilance au bon fonctionnement de l’unité de recherches ainsi que les conseils qu’elle lui prodiguait parfois sur l’attitude à avoir avec tel ou tel étudiant. Cela ferait bientôt deux ans qu’ils étaient devenus amants. —ooOoo— Ce printemps-là, il avait remarqué qu’elle offrait à son regard le charme de ses formes voluptueuses que les rayons de soleil exposaient à travers la transparence d’une robe et d’un chemisier des plus légers. Quand il s’était aperçu que son voyeurisme n’avait rien de discret, il avait rougi en percevant son regard, mais le sourire qu’elle lui avait adressé avait effacé toute honte ou culpabilité. Dans l’après-midi qui suivit, leurs yeux s’étaient souvent croisés, mais sans qu’aucune parole n’accompagne ce trouble. Au moment où les bureaux s’étaient vidés du reste du personnel, Daniel avait eu le regret de ne plus la voir. Étonné qu’elle soit partie sans le saluer, il avait rangé ses affaires en s’interrogeant sur cette attitude. L’avait-elle fui ? S’était-elle effrayée de désirs inavouables pour une femme mariée ? Il ne connaissait pas grand-chose de sa vie de couple, leurs conversations ayant jusque-là écarté toute confidence. Elle avait deux adolescents de 14 et 16 ans. Les rares remarques qu’elle avait faites aux retours de vacances exprimaient parfois une lassitude de se sentir au service de son mari et de ses fils qui consacraient beaucoup d’ardeur au sport, mais pas au ménage. Madame Laforêt n’était jamais allée au-delà de ces ...