Barbara et les Incas
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
fhh,
ffh,
hplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
profélève,
avion,
fsoumise,
hdomine,
double,
sm,
BDSM / Fétichisme
... souffle de Jacques était devenu plus rapide ; ses mains s’étaient crispées dans les cheveux de sa femme et il se mit à ressortir puis rentrer lentement sa verge, baisant sa bouche comme un sexe. Son regard se porta sur Barbara qui était entièrement captivée par la scène. L’esprit de la jeune femme se partageait entre l’attirance qu’elle éprouvait pour ce mâle affichant sa virilité dominatrice et la jalousie qu’elle ressentait vis-à-vis de cette épouse capable de lui prodiguer un tel plaisir. La femme arrêta sa fellation et se tourna vers elle. — À ton tour d’en profiter, maintenant. Viens lui pomper le nœud ! L’étudiante ne résista pas une seconde à cette invitation et tomba à genoux à côté de sa rivale-complice. Elle goûta de la langue la liqueur pré-séminale qui sortait du méat, rejointe bientôt par Michèle qui léchait tantôt le sexe de son mari, tantôt la bouche de Barbara. Les deux femmes jouèrent un moment avec leurs langues avant de s’embrasser avec passion. — Je savais que tu étais une chaude, s’exclama Michèle d’une voix rauque marquée par l’excitation. Allez, bouffe sa bite, suce-le à fond… Et elle s’écarta pour laisser la jeune femme s’appliquer à sa tâche. Barbara reprit le gland entre ses lèvres, le faisant glisser avec sa langue à l’intérieur de son palais. Elle savait que son talent ne pouvait rivaliser avec la prestation à laquelle elle venait d’assister. Elle n’avait d’ailleurs jamais tenté de « gorge profonde » et redoutait qu’une telle intromission lui ...
... provoque une irrépressible envie de vomir. Elle s’appliqua à pomper ce sexe, comme lui avait conseillé l’ingénue épouse. Elle aspirait la verge en serrant ses lèvres comme si elle tétait un sein, ou plutôt le pis d’une vache. Pendant ce temps, Michèle était passée derrière elle et caressait ses jambes en faisant remonter la robe. Elle eut la surprise de trouver des fesses entièrement dénudées, pas même un petit string minimaliste… — Toi alors, tu es bien plus coquine encore que je ne l’imaginais ! Barbara ne lui répondit pas, préférant au contraire amplifier sa fellation. La belle bourgeoise, elle, s’intéressait de près à ce jeune postérieur : le palpant fermement, puis écartant le sillon pour dégager le petit trou serré et l’abricot juteux qui suintait en-dessous. — Tu mouilles bien, ma belle ! s’exclama-t-elle en glissant un doigt dans son vagin. Puis elle le porta à sa bouche. — Ton goût est délicieux ; je vais directement m’abreuver à la source. Et elle colla sa bouche à la vulve mouillée, y enfonçant sa langue comme un petit phallus. Ainsi stimulée, la jeune femme accéléra son aspiration, la complétant d’une masturbation énergique. Sous ce traitement, Jacques sentit grandir son plaisir et ne tarda pas à exploser en jets puissants au fond de la gorge de la jeune étudiante. Celle-ci s’appliqua à tout avaler, juste avant que l’orgasme monte du profond d’elle. Elle retint difficilement les cris de jouissance qui gonflaient sa poitrine. De tels hurlements ne seraient pas passé ...