1. Fin des travaux


    Datte: 09/02/2020, Catégories: fh, fhh, extracon, grossexe, poilu(e)s, jardin, voiture, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio,

    ... assise face à lui, dans le canapé de jardin, lui dans un fauteuil. J’ai le soleil dans le dos alors qu’il cligne des yeux, ébloui et gêné. — Tu peux t’asseoir à côté de moi si le soleil te gêne.— Merci. Hélas, je ne te verrais que de profil.— Idiot ! Mon profil ne te convient pas ?— Si, si… Tu me conviendrais même sous tous les angles. Ah, si Alain ne t’avait pas épousée…— Serais-tu un peu coquin ? Je ne suis pas folle, j’ai déjà remarqué que tu laisses souvent traîner les yeux sur moi quand tu viens nous voir avec Alain…— Comment faire autrement ? Tu te promènes seins nus pour aller dans ton jacuzzi ou piquer une tête dans la piscine… Je devrais tourner la tête ?— Pas forcément… Mais me tourner le dos peut-être.— Ah bon ? Pourquoi ?— Parce que j’ai pu constater l’effet que je te faisais… Au point d’en être assez troublée, d’ailleurs ! Ce n’était pas une perche que je lui tendais, mais un poteau télégraphique ! Cette fois, les dés étaient jetés : j’avais franchi le pas. Pierre eut un sourire. — Si ce n’est pas de la provocation, comment dois-je prendre ça ?— À toi de voir !— Je veux bien en voir plus encore ! D’ailleurs, voir n’est pas tout à fait le bon terme… Même si tu es l’épouse d’un ami, j’ai très envie non seulement de voir, mais de toucher, de goûter !— C’est bien ce que je disais : tu es un incorrigible coquin. Et moi, s’il n’y avait pas Alain, je serais peut-être coquine.— Il n’est pas là pour voir. Moi si ! Il se pencha vers moi, passant un bras sur le dossier du ...
    ... canapé, autour de mes épaules. Il m’embrassa dans le cou, remonta sur ma joue avant de frôler ma bouche. Enfin, le grand frisson… Nos lèvres, nos langues se mêlèrent, le baiser était tendre, langoureux, juste comme j’en avais envie. Dans le même temps, la main sur mes épaules s’insinua tendrement dans l’ouverture de ma robe pour empaumer mon sein gauche. L’autre atterrit très haut sur ma cuisse, là où la peau est la plus douce. Contrairement à Dom, il avait les mains fines et douces ; ses caresses étaient un véritable délice. Il prit tout son temps pour écarter les pans de ma robe, découvrir mes seins, les admirer, les caresser avant d’en prendre les tétons entre ses lèvres. La tête en arrière sur son bras, j’ai savouré ses caresses en gémissant doucement. Il pétrissait doucement les globes gonflés de désir, mordillait leurs pointes durcies… Entre mes cuisses, les doigts se firent aussi plus curieux, remontant lentement jusqu’à frôler mon pubis. Ses gestes étaient doux, attentifs. Du pouce, il découvrit ma perle sensible tandis qu’un doigt progressait dans mon sexe déjà humide. Ce n’était pas une masturbation ; son doigt en crochet vers le haut appuyait sur le petit renflement interne de mon pubis, à la recherche du point trop sensible qui me ferait décoller. Il y est parvenu, délicatement, habilement ! J’ai longuement tremblé comme une feuille, sentant monter en moi la grande vague de l’orgasme qui m’a brutalement submergée. J’ai repris conscience, les bras autour du cou de ...
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