1. Séjour chez une putain


    Datte: 20/09/2017, Catégories: Anal Mature,

    Je ne mesure pas assez le caractère souple de l'hospitalité. Je révère comme beaucoup la noblesse du terme et son concept. J'en ai pu éprouver un jour avec quelque honte le sens relatif et assez ambigu. Pour aller vite j'eus un jour à descendre dans le Sud. J'avais un séminaire près d'Avignon. Paul, mon meilleur ami et avec lequel je conversais par le net souvent, était établi là-bas depuis. Le Lubéron l’avait converti. Il m'en louait les charmes et n’avait de cesse à que je cédas à ses pressants appels. Pour le coup j'acceptais.J'avais vu une photo de son épouse. Il la disait jolie ce que laissait transparaître la pellicule. Cependant je me suis toujours défié d'une photo. Rien ne remplace le réel. Aussi ne fus-je pas peu impressionné du charme envoûtant de la personne. Elle était davantage sensuelle que jolie. Pour parler vulgaire, elle était garce et bandante. Je fus un peu surpris que mon ami ne s'en formalisa pas. A sa place j'eus été méfiant et jaloux. En effet cette femme dans son regard voulait du premier coup vous subjuguer.Ajoutons à cela une mise et une démarche chaloupée qui signalait l'allumeuse qu'on drague dans mon pays hâtivement et sans scrupule. Je n'avais pas perçu qu'un séjour annoncé banal put receler de pernicieux dangers. La tentation me guettait. Je devrais me garder de croquer la pomme que cette Eve me tendrait. Le premier matin après que j'eus fini mes mouvements de gym dans le jardin je pus échanger avec le voisin à côté. Celui-ci goûtait peu que ...
    ... j'eus sur le dos un maillot du PSG. Il m'en signala le caractère provocant ici.N'étais-je pas sur les terres de l'OM ? Je convins avec lui de la légèreté de ma mise . Je ne m'étais pas volontairement affublé de ce vêtement. Il vit ma sincérité. Je l'assurais en riant que j’allais enfouir au profond de la valise ce maillot maudit . Nous en vînmes à sympathiser. Il était retraité et avait bossé dans ma branche. Je lui confirmais que Paul était un ami de longue date. Puis nous en vînmes je ne sais pourquoi à évoquer la dame de celui-ci. Le voisin malicieux me fit rapidement convenir qu’elle était séduisante. Il ajouta : « Bandante ! »Puis les propos devinrent lestes. Il me dit de but en blanc que j'aurais du mal à ne pas céder aux avances de la gueuse. D'un air entendu ce petit homme chauve ridicule avec son ventre me fit entendre qu'il avait obtenu les faveurs de la dame. J'éprouvais à présent du malaise à l'entendre. Je décidais que le sot se vantait. Tout mâle est hâbleur sur ce genre de sujet. Il n'en voulut pas moins entrer dans les détails de l'exploit. La garce certains étés faisait du nu sur sa pelouse. Ainsi s'était-il un jour invité.Paul était des fois absent de longs jours. La garce alors en profitait et se faisait att****r par nombre de types. Il n'avait jusqu'alors osé franchir le pas. Ce jour-là sa dame était partie avec sa fille pour une journée sur Marseille. Il l'avait longuement arrosé et maté par-dessus la haie. La garce n’avait eu cure de se mettre un morceau ...
«1234»