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Séjour chez une putain
Datte: 20/09/2017, Catégories: Anal Mature,
... de tissu pour cacher ses fesses et sa chatte. Bref après s’être autorisé d'un banal bref et baratin, il avait passé la limite du jardin et était venu près du transat finir la conversation.Il me laissa deviner le reste. Curieusement j'en vins à penser qu'il ne mentait pas. Ses yeux brillaient. On eût qu'il avait emporté une bataille d’Austerlitz. Poursuivant son conte comme en un rêve, il me dit qu'il n'avait rien fait. Elle avait seule pris la tête des opérations. Il me dit qu’elle suçait avec un talent comparable aux prostituées de Marseille. Avides de sexe, ils s'étaient épuisés une longue heure. Endurant et baiseur patenté il n'en avait pas moins rendu les armes. Elle avait vidé ses couilles. Il était rentré sur les rotules.Il me dit d'un air soudain triste et grave : « Elle vous mangera aussi ! ». Je n'eus de pensée que pour Paul. Dans quelle galère était-il ! Savait-il la corruption et la lubricité de sa femme. Il devait être la risée des lieux alentour. Si un imbécile avait pu, d'autres avaient du faire de même. En effet dans les commerces et les restaurants autour j'avais saisi des regards et des sourires qui ne laissaient planer pas d'équivoque. Il y avait de la connivence avec des mâles qui devaient être ses amants. Seul Paul ne voyait rien.Je crus sottement devoir prendre parti et intervenir. Un ami était danger. Je devais lui ouvrir les yeux. J’oubliais sottement le conseil de ne jamais réveiller un somnambule. Rien de tel pour qu'il tombât du toit. Paul à cet ...
... égard était émerveillé et encore amoureux. Je compris assez vite que j’allais tuer cet homme. Je n'en étais pas moins surpris qu'il n'y eût encore une âme charitable ou perfide pour calomnier sa femme. Les médisants sont de partout. Là-dessus il me dit un jour qu'on jalousait ici fort sa femme.Je compris que ce n'était pas mes oignons et que je devais me taire. N'empêche un jour avec un air de reproche tandis que la garce écartait par défi ses cuisses, je lui jetais à la figure un propos sévère : « Vous ne méritez pas Paul ! » Elle eût alors un sourire terrible confinant à une envie de meurtre. Je compris à partir de ce jour qu'elle me voudrait punir. J'en avais trop dit. La suite ne manquerait pas. Dans deux jours, j'arriverais au terme de mon séminaire. Il me tardait de partir. Une après-midi je rentrais trop tôt.Je croisais le voisin en bout de rue. Il allait à sa partie de tennis. Le soleil tapait. Je lui dis de faire attention et de bien s’alimenter et boire. Il me dit d'un clignement d’œil. « Tu sais l'autre pute, elle bronze à poil dans son jardin. » Je fus sur le point de rebrousser chemin et d’attendre dans un bar le retour de Paul qui devait rentrer plus tard. Puis me reprenant j'avisais que je monterais directement dans ma chambre pour m'allonger sur le lit et dormir. Je n'avais que faire que madame bronzât. Ce n'était pas mon problème.Je devais cependant traverser le salon lequel qui donnait sur la piscine et ses bords. Je ne pus échapper au spectacle. Le soleil ...