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Séjour chez une putain
Datte: 20/09/2017, Catégories: Anal Mature,
... donnait à fond sur son corps nu et bronzé. Une véritable déesse. On eût dit une statue plantée là pour le bonheur du regard. J'en demeurais saisi, pétrifié. Maladroit je choquais une table et fit tomber un verre. Sa tête se tourna. Retirant ses lunettes , elle me devina dans la pénombre. « Tiens c'est toi. Tu tombes bien. Viens ! » Son transat menaçait de se désagréger. Un problème de vis.Penaud et tâchant de me concentrer sur ladite vis je tâchais de ne pas regarder le reste. Ses belles jambes infinies n'en finissaient pas de rutiler vers l'eau. Mon voisin n'avait pas menti. Pouvait-on résister à ce déluge de feu et de sensualité ? La sueur perlait sur mon front. Je bandais. J'étais triste. Je songeais à Paul que j’allais trahir. La simple réparation effectuée j'aurais du me lever et m'en aller. Au contraire docile je me laissais prendre la main. Nos lèvres se collèrent. Elle était chaude et si odorante.Je perdis la notion du temps et du risque que Paul put nous surprendre. La garce n'en avait cure. Elle fut bientôt accroupie à me sucer. Je réalisais trop tard qu'on put nous voir et notamment l'autre idiot du fond du jardin. Heureusement il était au tennis. N'empêche elle faisait exprès afin qu'on vit qu'elle suçait un autre que son mari. J'étais fait. Je couchais avec la femme d'un autre qui était mon ami. Elle me branlait à présent avec rare frénésie. D'un ton vulgaire elle jeta: « T'es bien monté mon salaud ! »Elle m'entraîna dans l'ombre à l'entrée du salon. Empli de ...
... rage je la bourrai en levrette. Crinière au vent elle cria : « Encule moi ! » Son cul de toute façon remuait de façon insolente requérant qu'on le punisse et foute à fond. J’avais la queue énorme et j’avais toujours fait attention d'entrer doucement dans le cul d'une partenaire. Cette fois la bite fut avalée. Ce trou semblait familier de ce traitement. Impavide il encaissait l'introduction et chaque coup de boutoir. Elle m’exhortait d'y aller plus fort.J'éjaculais dedans. Elle m’avait mué en bête. J'étais pris de honte. J'avais cédé à la tentation et roulé dans la fange prophétisée par le voisin. J'étais pire que les autres. Minable pourceau, j'étais entré dans leur cohorte. Cette garce pouvait me compter à son tableau de chasse. Elle avait voulu me donner une leçon et rabattre ma superbe ce à quoi elle était parvenue sans peine. J'eus du mal à regarder en face Paul revenu de bonne humeur. Il perçut mon trouble. Je lui dis que ma journée de séminaire avait été pénible.Je n'eus pas moins de difficulté à échapper aux regards ironiques de la garce. Elle poussa même la cruauté jusqu'à me faire du pied sous la table en présence du mari. Cette imbécile continuait à pérorer balançant de temps en temps de stupides : « Ma chérie ». Celle-ci jouait la comédie parfaitement. Elle m'y associa ce jour-là. Nous étions tous deux complices du même crime. Elle vint m'embrasser un moment tandis que Paul ramenait un plat dans la cuisine. Elle me souffla : »J'ai envie de ta lourde bite ! »Le ...