1. Jennifer 2.0


    Datte: 09/02/2020, Catégories: f, fh, ffh, hplusag, noculotte, Masturbation pénétratio, fsodo, fouetfesse, policier, aventure, sf, fantastiqu, merveilleu,

    ... de mon entrejambe. Elle est du genre direct, la fille ! — Où est ta chambre ? J’ai envie de toi… En guise de réponse, je tourne simplement la tête vers la droite, là où se trouve mon paddock. Message reçu cinq sur cinq… Pas le temps de réaliser, elle m’a déjà projeté sur le lit et le tee-shirt a volé. Dans un état second, je la vois extirper mon sexe de sa prison de toile, sexe qui a soudain tout d’un diable qui sort de sa boîte. Pas non plus le temps de discuter, juste pour moi celui de la voir retrousser rapidement sa jupe et voir apparaître une magnifique paire de bas noirs, de me rendre compte que la belle ne porte pas de culotte et que son sexe est aussi blond que ses cheveux. Et qu’elle sait s’en servir, aussi ! Elle vient de s’empaler sur ma queue ; j’en vois trente-six chandelles. Les yeux mi-clos, elle monte et descend sur ma hampe, ses mains posées simplement sur mes épaules. Sa veste de tailleur baille généreusement, m’offrant une vue somptueuse sur le sillon de ses seins… Ce n’est pas une fille : c’est une tornade. Mais tandis qu’elle s’acharne sur mon sexe comme si sa vie en dépendait, cela ne m’empêche pas complètement de réfléchir, et précisément, quelque chose ne colle pas dans cette affaire. Jennifer, c’était la ravissante compagne de mon frère Vincent. Je dis bien c’était… Elle n’avait sans doute pas encore vingt ans lorsqu’ils se sont rencontrés, et ne les avait pas dépassés depuis longtemps lorsqu’ils se sont mis en ménage. Leur liaison a duré une ...
    ... bonne dizaine d’années jusqu’à ce qu’elle le quitte, et cette séparation date d’il y a au moins quinze ans. Donc, en clair, la Jennifer que j’ai connue devrait plutôt être, comme moi, du mauvais côté de la quarantaine et ne pas paraître vingt ans comme c’est le cas ici ! Et comme, à ma connaissance, l’ex-compagne de mon frangin n’a jamais eu d’enfant, il ne peut donc pas davantage s’agir de sa fille… Non, véritablement, y’a un os dans la moulinette ! En attendant, os ou pas os, s’il y en bien un qui se fout royalement de mes problèmes métaphysiques, c’est l’habituel locataire de mon froc. J’ai beau me poser mille questions, il est tout bonnement en train de prendre les commandes et de court-circuiter ce qui me fait office de cerveau. Qui a dit que les hommes, c’était comme les avions, que c’était la queue qui les dirigeait ? Eh bien, il n’avait sans doute pas tort… Mon changement d’attitude doit se ressentir, puisque l’expression sur le visage de cette Jennifer-là vient de changer. Si elle est toujours aussi occupée à me chevaucher, elle vient de se mettre à sourire, mais cela ne ralentit pas sa cadence. Alors, puisqu’elle semble tellement motivée pour obtenir ma semence, je m’en vais la lui donner, moi ! Bon, en vérité, je ne décide rien du tout et ce sont mes reins qui se rebellent tandis que mon horizon s’obscurcit. J’aurais bien aimé la prévenir de l’arrivée de la cavalerie, mais je n’en ai pas le temps et un torrent de lave gicle tout au fond de son ventre. Il faut croire ...
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