1. Jennifer 2.0


    Datte: 09/02/2020, Catégories: f, fh, ffh, hplusag, noculotte, Masturbation pénétratio, fsodo, fouetfesse, policier, aventure, sf, fantastiqu, merveilleu,

    ... qu’elle n’attendait véritablement que cela, puisque sa jouissance accompagne la mienne à l’instant précis où je me déverse en elle. Quelques minutes plus tard, tout juste rhabillés, elle me tend un papier. — C’est de la part de votre frère. Il m’a remis cela pour vous. Décidément, le mystère s’épaissit. Il s’agit d’une feuille de bloc de laboratoire visiblement déchirée à la va-vite et recouverte de quelques lignes écrites, elles aussi, à la va-vite. Je ne sais ce qui est arrivé au frangin, mais il y avait vraisemblablement le feu au lac lorsqu’il a griffonné ces quelques mots. Je lis. Alors là, les bras m’en tombent. Cette fille, là, un robot ? Pourtant, la chaleur de sa peau, la douceur de son sexe, le parfum de ses cheveux, sa plastique sans faille… Je ne comprends pas. Certes, Vincent est une pointure reconnue en robotique, mais de là à pondre cette créature de rêve… Créature qui est là, toujours face à moi. J’attrape son poignet ; elle sourit et se laisse faire. J’ai beau palper et palper encore, son bras, sa main, sa joue, son cou, je ne ressens rien de particulier… En tout cas, rien qui ressemblerait à une quelconque articulation artificielle ou à un rembourrage de mousse plus ou moins approximatif. Mes mains se posent sur ses hanches, et de nouveau mon examen continue. Jennifer, puisqu’il faut bien l’appeler comme cela, se laisse docilement faire sans dire un mot, ou presque. — Voulez-vous que je me déshabille ? Toujours cette voix chaude et sensuelle. — Pourquoi ...
    ... pas, ma belle ? L’idée n’est pas de la voir nue simplement pour le plaisir, mais de trouver l’indice qui me prouverait que je n’ai effectivement pas affaire à une humaine. Là, au beau milieu du salon, elle s’effeuille doucement, et chaque parcelle de sa peau que je découvre me révèle une pure merveille. Son visage, doux et sans défaut, je le connaissais déjà, mais le reste… Une poitrine plutôt volumineuse enserrée dans un écrin de dentelle noire qui s’avère totalement inutile lorsqu’elle le dégrafe, un adorable ventre plat… Et quand sa jupe tombe sur le sol, j’en oublie ses longues jambes fuselées pour mieux redécouvrir ce somptueux triangle blond qui semble attirer mon regard comme un aimant. Alors qu’elle est sur le point d’ôter ses bas, je l’en dissuade. — Garde-les, s’il te plaît, tu es vraiment très belle.— Merci, répond-t-elle, visiblement ravie du compliment.— Et donc, tu serais un robot ? Cette fois, elle me fixe avec des yeux ronds qui reflètent l’étendue de son incompréhension. Les mots de mon frère, lus quelques instants plus tôt, me reviennent alors à l’esprit. — Je vois. Et si je te dis « config » ? Son sourire enjôleur s’efface brusquement. Non, elle ne fait pas la tronche, mais elle donne l’impression d’être soudain passé du mode « séduction » à celui de « sérieux ». Cela a quelque chose d’infiniment troublant, mais elle ne fronce pas un sourcil. — Donc, je disais, tu serais un robot ?— Oui, répond-t-elle clairement. Le ton de sa voix, lui aussi, vient de changer ...
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