L'affaire LunaSex
Datte: 11/02/2020,
Catégories:
fhh,
hbi,
forêt,
Collègues / Travail
fsoumise,
Transexuels
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
sf,
policier,
... travaillaient ici pour de l’argent : leur verser un salaire étant avantageux pour l’organisation, car leur coût était moindre que l’investissement et la maintenance des unités robots putes. De plus, leurs services étaient de loin meilleurs. Autre avantage : les clients, persuadés d’avoir à faire à des robots, chantaient partout les louanges de ces « machines » si réalistes. La direction avait communiqué sur la présence de nouveaux modèles contenant du vrai ADN humain, ce qui rendait la supercherie plus authentique aux yeux des vicieux visiteurs de LunaSex. L’autre catégorie de vraies femmes qui peuplaient la région était constituée de prisonnières. On leur avait laissé le choix entre racheter rapidement leur liberté en faisant la pute ou bien purger une peine de prison dans un pénitencier minable et exigu. Elles avaient vite choisi le plein air et le sexe imposé. Ben, Jack et Carlos étaient vêtus de combinaisons spatiales argentées, légères. Aucun casque n’était nécessaire, vu la teneur en oxygène de la Lune. Ils avaient choisi une petite clairière pour poser leur vaisseau. Celui-ci servirait de base, un véhicule tout-terrain étant à leur disposition pour le safari. Tous trois bandaient déjà à la pensée de ce qui les attendait. Rapidement après leur arrivée, ils sortirent le véhicule et consultèrent le GPS. Ils décidèrent de passer par une longue route sinueuse à travers la forêt pour rejoindre l’océan. De là, après une nuit ou deux de camping, ils rejoindraient la base en ...
... passant par une vallée et des collines verdoyantes. La vie était belle pour eux et ils allaient bien baiser. C’est Jack qui conduisait et Ben faisait le copilote. Carlos, quant à lui, scrutait le lointain de ses jumelles à détecteur de présence. La poussière s’élevait droit dans le ciel suite à leur passage. Les arbres semblaient s’écarter au fur et à mesure qu’ils pénétraient dans la forêt. Christina se releva. Elle venait de se faire lécher longuement par une pute robot. En effet, elle avait rapidement appris à les manipuler, comme ses consœurs le lui avaient montré et puis elle les appréciait. Ces robots avaient une sorte d’éthique du plaisir et de la liberté qui donnait un sens plus profond à la vie. Elle en contrôlait totalement une quinzaine qui la suivaient partout et lui obéissaient au doigt et à l’œil. Ainsi, en cas de rencontre avec des visiteurs, elle choisissait d’être capturée par ceux qui lui plaisaient et se mettait à l’abri derrière sa garde de robots femelles dans le cas contraire. En fait, au bout d’une semaine, elle avait abandonné son enquête tellement ce nouveau genre d’existence la ravissait. Contrairement à la plupart de ses consœurs, putes humaines, elle vit très vite le pouvoir qu’elle pouvait avoir. Christina se prit à rêver d’un empire sur la Lune. Avec son escouade, elle pouvait enlever qui bon lui semblait : homme, femme, robot et ainsi garnir ses rangs. Carlos, debout et la tête dépassant de la tourelle, hurla « stop ! ». Il venait d’apercevoir une ...