L'affaire LunaSex - Histoires de Sexe

L'affaire LunaSex

C’était une nouvelle journée qui commençait pour Sigismond & Associés, cabinet de détectives privés. Une jeune blonde élancée avec de beaux yeux bruns, un sourire d’ange et une petite poitrine affriolante pénètra dans la pièce. L’échancrure du chemisier laissait voir complètement deux petits globes de chair ferme quand on la regardait debout. Le petit cul rond semblait animé d’une vie propre monté sur de longues jambes dynamiques. La jeune secrétaire se laissa aller dans un fauteuil de cuir noir. Elle portait des bottes de cuir naturel. Ses cuisses et ses mollets étaient gainés dans un collant de laine noir. Plus haut, une petite jupe grise légère aux motifs vaguement indiens. Encore plus haut, le petit chemisier orangé ne cachait vraiment rien, non vraiment rien, je dois le dire, tellement cela m’obsède, de ses deux petits seins de taille B. Sa veste noire à col de fourrure synthétique achevait de la rendre sexy. Sa vulve était humide et la pointe de ses seins durcie. Le téléphone sonna. Une voix grave de femme lui demanda si elle était bien chez Sigismond & Associés. — Effectivement, que puis-je faire pour vous ?— Je souhaiterais voir monsieur Sigismond, il s’agit d’une affaire de la plus haute importance. Une heure plus tard, Myriam reçut madame Ravic, une grande femme aux belles courbes, vêtue d’un simple jean’s délavé et d’un tee-shirt bariolé qui laissait voir son ventre et son nombril. Un long collier à plusieurs rangs de perles descendait de son cou. Son visage était ...

... impassible et ses cheveux auburn entouraient son visage froid. Myriam était surprise de cette apparence, jalouse du bonnet D que la cliente arborait et de sa tenue aguicheuse. Elle laissa tout de même entrer cette Hélène Ravic dans le bureau de son patron et referma la porte. Elle l’entendit derrière la porte déclarer : — Monsieur Sigismond, avant toute chose, et pour vous éviter de tourner autour du pot, je dois vous apprendre quelque chose… Puis le filet de voix se perdit ainsi que le sens des mots, car Sigismond, s’étant aperçu que la porte était mal fermée, était venu la fermer lui-même tout en lui faisant un clin d’œil. Sigismond regarda la belle Hélène commencer son discours. — Je suis transsexuelle et rien que vous voir me fait bander, monsieur Sigismond.— Quoi ? Et vous m’annoncez cela comme ça !— Voulez-vous que je vous montre mon pénis ?— Non, non, ça suffit comme ça. Je ne veux rien savoir de plus !— Dommage, vous ne savez pas ce que vous ratez. Pendant ce temps, la secrétaire se morfondait seule dans son bureau. Au bout de 10 minutes, elle trouva un prétexte pour entrer dans le bureau du boss. Quand elle entra, des bruits de succion se faisaient entendre. Elle vit alors un spectacle qui la laissa pantoise : son patron en train de sucer la nouvelle cliente et… celle-ci avait une bite. Le gros bâton de chair bien épais bâillonnait la gorge de Sigismond et celui-ci y allait de bon cœur. Honteuse, elle sortit. Quelques instants plus tard, Sigismond vint la trouver. Un ...