L'affaire LunaSex - Histoires de Sexe

L'affaire LunaSex

... revenez, c’est trop bon.— Suce, salope, dit Sigismond, et il lui enfourna dans la bouche son épée de chair.— J’aime ton petit cul et tes petites mamelles, dit Hélène. J’y passerais ma vie.— Slurp, vouiz batron vôt pit’elwa bon go, et laut em tue l’gul, c’est twop pon, dit Myriam, une bite dans la bouche. Hélène faisait des va-et-vient avec fougue et entrain, le préservatif conquérant gonflé d’un membre long et énergique sortant et re-rentrant comme dans du beurre. — C’est serré, mais ça coulisse bien, dit Hélène, et vous devant, ça donne satisfaction, Sigismond ?— Aaaah, oui entière, quelle bonne petite, une vraie professionnelle ! Je ne vais pas tarder à jouir !— Ran ! Ah, oh oui, jouissons de concert, je crois que notre jeunette est au bord de l’orgasme. Quant à moi, j’ai les couilles au bord de l’explosion.— Tous les trois en chœur !— Une !— Deux !— Trois !— En chœur !— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! C’est comme cela que Sigismond et sa secrétaire furent engagés pour résoudre l’affaire LunaSex. * * * Le vaisseau descendit lentement vers le sol lunaire. Un paysage de roches poussiéreuses défilait sous leurs pieds. On voyait la Terre et, à l’horizon, une mer turquoise. Le bon vieux satellite avait été aménagé pour la vie humaine. Ils alunirent. Ils étaient trois hommes : Ben, Jack et Carlos. Ils avaient réservé leurs places sur la planète des plaisirs, une zone lunaire réservée aux ébats sexuels en tous genres. LunaSex offrait au visiteur, sur ...

... une étendue équivalente à l’Ile de France, un parc sexuel naturel peuplé de robots humanoïdes extrêmement ressemblants. Le but du jeu était de participer à un safari et de chasser les robots pour faire l’amour avec eux. Ces robots, des répliques en tous points fidèles à de vraies femmes, choisies parmi une variété de beautés. Les trois compagnons étaient très excités à l’idée d’être libres de faire ce que bon leur semblait dans ce paradis lunaire. La population des robots étaient d’environ 5000 femmes et les touristes une bonne centaine en permanence. Ce qui faisait cinquante femmes pour un homme. Un rapport plus que séduisant. Cependant les robots se cachaient en groupe et leur capture n’était pas forcément aisée. Christina, une jeune blonde élancée avec de beaux yeux bruns, un sourire d’ange et une petite poitrine affriolante venait d’arriver également sur la planète. Cette journaliste d’une vingtaine d’année enquêtait sur ce nouveau type de séjour sexuel. Or le contrôle était particulièrement strict : l’organisation n’acceptait aucun journaliste autre que des reporters dévoués, chargés de faire la promotion du centre de loisirs. Elle avait donc décidé de s’introduire par effraction et de partager la vie des robots putes. Quelle ne fut pas sa surprise quand elle constata qu’elle n’était pas la seule vraie femme dans la région. En effet, elle en compta dans la proportion d’une sur dix, soit 500 environ. Leurs motivations et leurs histoires étaient diverses : certaines ...