1. Dominique


    Datte: 12/02/2020, Catégories: hh, telnet, hsoumis, Oral portrait,

    ... masculine. Il me fit entrer et m’invita à m’asseoir. Il portait un jeans et une chemise large à manches courtes par dessus, elle était entrouverte de sorte qu’on pouvait deviner qu’il avait le torse velu. — Je te sers un Porto ?— Oui, merci.— Alors, ça te fait quoi de me voir ?— Tu es sympa, comme dans nos discussions.— Toi aussi, je te trouve très mignon.— Merci.— Bon, trêve de blabla, tu sais pourquoi tu es venu chez moi ce soir ! Je ne répondis pas, j’étais pâle comme un drap et pourtant je bandais comme un âne. Je restais là comme un idiot planté sans rien dire. — Bon, je vois que tu es coincé, tu préfères sans doute que je prenne les initiatives. Il se leva, alla éteindre la pièce et alluma une petite lampe ocre. Il déboutonna sa chemise en prenant son temps, l’ôta et tranquillement la posa sur une chaise. Ensuite il dégrafa son jeans en l’écartant juste, dessous son caleçon noir apparaissait. Il s’approcha vers moi, j’étais pâle, je commençais à transpirer, j’avais les tempes gonflées. J’étais assis, il était maintenant tout près, il dégrafa complètement son jeans, l’abaissa sous ses fesses, baissa son slip, prit son sexe et le branla un peu en se caressant les bourses. Il ne bandait pas vraiment, il avait juste un peu grossi. Il se rapprocha de moi et le présenta contre mes lèvres. — Allez ma poulette, tu sais ce qu’il te reste à faire, tu le fais grossir. Joignant le geste à la parole, avec douceur il m’attrapa la nuque de manière à ce que son sexe qui commençait à ...
    ... bander soit appuyé contre ma bouche. Sa verge était lourde et épaisse, je sentais sa chaleur sur mes lèvres. — Ouvre…— …— Ouvre, je te dis ! J’ouvris la bouche, il y fit pénétrer sa bite tranquillement, je toussotai puis repris mon souffle. Il me tapota la joue. — C’est pas grave, tu vas t’habituer, ma poule. Bon, maintenant on va passer aux choses sérieuses. Ouvre bien la bouche et tu pompes comme une salope ! À partir de ce moment précis, les choses devinrent claires pour moi ; elles pouvaient se résumer en une seule petite phrase : j’aime la bite… ! Je tournais définitivement la page sur mon ancienne vie, j’acceptais ce qui devait être mon destin. Grâce à François, j’avais ouvert les yeux, je devenais spirituellement et cérébralement une gonzesse. Une gonzesse dans un corps d’homme. Je ne serai plus jamais un « mec ». Je me donnais à lui ; désormais, il devenait « mon Homme » : je me devais de le satisfaire, d’être à sa disposition et à son service. Il me tenait la nuque pour imprimer le rythme, il allait de plus en plus vite et son sexe était maintenant très dur. Puis il ralentit la cadence. — Continue à sucer doucement, il faut que je me calme sinon je vais jouir trop tôt. Je retirai son sexe pour pouvoir reprendre mon souffle quand je sentis une grande chaleur sur ma joue accompagnée d’un claquement sec. — Je t’ai dit de te retirer, salope ? Je ne répondis pas et repris son sexe. Il me refila une baffe. — Je t’ai posé une question ! Je fis signe que j’avais compris tout ...
«12...4567»