1. Dominique


    Datte: 12/02/2020, Catégories: hh, telnet, hsoumis, Oral portrait,

    ... en continuant à pomper. — Alors écoute-moi bien, espèce de pute, on va mettre les choses au clair, tu as le choix. Ta femme t’a quitté parce que tu n’as pas su la garder et tu sais pourquoi tu n’as pas su la garder ? Parce que tu n’as pas su te faire respecter, et tu sais pourquoi tu n’as pas su te faire respecter ? Parce que tu es une tapette. Tu ne veux pas te l’avouer à toi-même mais c’est ta nature profonde, j’ai appris à te connaître et à étudier ton caractère, tu es un soumis qui se refuse à l’accepter, c’est pour ça que tu vis mal ta vie. Alors j’ai décidé de te prendre en main, je te donne la chance de te réaliser tel que tu es. Bon, tu as le choix, je ne veux pas de réponse maintenant, prends le temps de réfléchir et on en discutera demain. Je le regardais maintenant, les yeux levés vers lui car il était debout et moi assis, je l’écoutais sans rien dire, j’étais intimidé et silencieux. Lui aussi s’était tu et me toisait d’un regard sévère. Alors je me relevai. — Bon, je vais rentrer alors et demain on en rediscutera comme tu m’as dit. Il leva la main et d’une tape appuyée me fit baisser la tête. — Tu rigoles ou quoi ? Tu crois que je vais rester comme ça ? Maintenant que tu as commencé, tu finis : tu vas me vider les couilles ! Mets-toi à genoux, tu prends ma bite dans la bouche, tu pompes et tu me caresses les couilles en même temps. Et quand je jouis, tu prends tout dans la bouche et tu avales. Sans rien dire, je m’exécutai… Sur le chemin du retour, j’avais ...
    ... l’esprit embrouillé ; d’une part je bandais et trouvais délicieux de rentrer dans le rôle que François me proposait, et de l’autre j’étais terriblement gêné, toute cette aventure allait dans le contresens exact de ma manière de voir les choses, des principes et des bases qui m’avaient été inculqués et qui m’habitaient. De retour chez moi, je m’endormis de suite, harassé par la fatigue. Le lendemain je tâchai de vaquer à mes occupations sans trop penser à tout ça. Le soir arriva vite et à 20 h, l’heure convenue, je m’installai devant mon écran. Il n’était pas là. Peut-être lui avais-je déplu, peut-être après tout avais-je été inintéressant pour lui ? Puis il se connecta, il était 21 h passées. — C’est bien : tu es là.— Oui…— Je suis venu plus tard volontairement pour voir si tu étais suffisamment motivé pour m’attendre. Je vois que oui. Alors j’ai juste une question à te poser. Veux-tu devenir ma femelle ? Tu réponds par oui ou non ! Sans réfléchir, je vis mon index taper sur les lettres o, u, i, sans que vraiment je le décide ; ça s’est fait instinctivement. — Très bien, mais je te préviens, tu vas devenir ma pute, tu te donnes à moi. Si un jour tu veux tout arrêter tu le feras mais il n’y aura pas de demi-mesure, ou tu t’en vas ou tu restes, mais si tu restes c’est pour être ma femelle obéissante. Tu es d’accord ?— Oui François.— Bon ça ira très bien, en plus c’est une chance, tu te prénommes Dominique, ça va aussi bien pour un homme qu’une femme. Tu prépares tes affaires et tu ...
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