Le Boulevard - Histoires de Sexe

Le Boulevard

Antoine et Juliette venaient de passer une soirée chez un couple de leurs amis avec un autre couple invité qu’ils ne connaissaient pas. Ils regagnaient leur voiture en découvrant les odeurs enivrantes d’un début de printemps que tout le monde attendait avec impatience. A peine installés, Juliette vint se lover contre Antoine en passant la main entre ses jambes. — Dis donc, elle a passé la soirée à te draguer la pétasse : regard bovin, sourires, tête penchée, rire de gorge – la seule à rire de tes vannes vaseuses, tout y était. Elle a même essayé de te montrer sa culotte, je l’ai vue écarter les jambes dans ta direction, mais t’avais l’air de regarder ailleurs.— « L’air » seulement, elle avait pas de culotte … La main de Juliette enserra le sexe de son homme à travers son pantalon — Tu as regardé, hein, quand une femme écarte les jambes c’est plus fort que toi, il faut que tu reluques !— Elle a une chatte vachement poilue, la radasse, et tu sais, en se quittant, on s’est fait la bise, et là elle m’a touché la queue plus que furtivement, j’en ai profité pour lui mettre les deux mains aux fesses. Elle avait l’air d’aimer, elle a tendu sa croupe en ondulant du bassin. Tu ne pouvais pas voir, tu lui tournais le dos… Juliette sentit la queue d’Antoine grossir alors qu’il engageait la voiture dans la circulation du boulevard, encore animé à cette heure ci. Elle lui susurra à l’oreille, tout en maintenant une douce pression sur sa bite qui durcissait : — En tous cas ca te fait bien ...

... bander de penser à elle, hein mon salaud ?— C’est surtout ta main qui me fait bander ! Dis donc, son mec il n’a quasiment pas quitté tes gros nichons des yeux de la soirée.— C’est pas le premier ni le dernier qui me regarde les seins avec concupiscence, mais c’est vrai qu’il y mettait beaucoup de conviction !— Conviction si on veut, il était carrément lubrique ce mec, il t’aspirait les seins du regard. D’ailleurs t’avais l’air d’aimer ça, tu passais ton temps à bomber le torse, comme s’ils n’étaient pas assez gros …— Mon lapin, tu sais bien que j’aime qu’on me regarde les nichons, ça m’excite et ça fait durcir mes tétons, j’y peux rien … Elle jeta un regard mouillé et pervers à Antoine et commença à déboutonner lentement la braguette de son jeans. Ils étaient toujours sur le boulevard, qui grouillait de la foule des sorties des dernières séances de cinéma et de ceux qui se disaient qu’il était peut être encore un peu tôt pour aller en boîte et qui cherchaient un troquet sympa ou un tabac encore ouvert. Elle libéra son membre avec douceur et lui goba le gland en soupirant de plaisir tout en lui branlant la tige lentement. — Tout ça m’excite. Elle est belle ta queue. Tu sais ce qu’il m’a dit en partant ce cochon ? La voiture était arrêtée au feu rouge, Antoine s’exercait au difficile exercice de garder une contenance alors que sa bite en feu était aspirée par le fourreau doux et humide de la bouche de Juliette, qui en plus elle en rajoutait au niveau des commentaires salaces. — ...