1. Le Boulevard


    Datte: 12/02/2020, Catégories: fh, grosseins, voiture, Oral

    ... Il m’a dit qu’il avait une grosse bite velue et que c’était où je voulais, quand je voulais. Je sais pas, il a du se douter que j’aime les grosses bites, dit elle en ré-engloutissant son membre avec gourmandise. Antoine sentit sa queue durcir encore et se tendre au maximum. Cette petite cochonne allait lui faire dégorger le poireau au beau milieu de la circulation. La voiture avait redémarré. À chaque fois qu’il passait une vitesse il en profitait pour palper les seins de Juliette. Elle ralentit le rythme de ses caresses car elle voulait, cette idée avait germé dans son esprit pervers depuis quelque temps, qu’il jouisse à un feu rouge alors qu’ils seraient entourés de voitures et de piétons. Elle sentit la voiture ralentir et anticipant le prochain feu, elle reprit de plus belle. — Tu sais que ça me fait mouiller de sucer ta grosse queue, mon lapin … Il y avait maintenant un bel embouteillage qui bloquait complètement la circulation. Juliette eut raison de toutes les velléités de pudeur d’Antoine, qui finit par se mettre à l’aise en se calant bien dans son siège. Il passa une main sous le pull de Juliette pour mieux pétrir ses superbes seins et lui passa l’autre dans les cheveux en accompagnant les lents mouvements de va-et-vient de sa bouche le long de son sexe. En tournant la tête il croisa le regard de la passagère avant de la voiture voisine et il se rendit compte qu’elle les observait depuis un bon moment déjà. Juliette la vit aussi, elle se dégagea légèrement pour ...
    ... lui laisser admirer le membre luisant d’Antoine. Elle le lécha bien de bas en haut en fixant la femme avec un regard lubrique puis elle l’avala de nouveau gloutonnement. Antoine vit le trouble de la femme, il fit quelques mouvement de bassin en la fixant en une invite muette alors que Juliette faisait maintenant tourner sa langue incroyablement vite autour de son gland. Ses mains se crispèrent. Les klaxons commençaient à se faire entendre, on voyait des silhouettes sortir de leur voiture, on entendait des portes claquer, des auto-radios qui déversaient toute sortes de musiques. La passagère lui rendit son regard et se mit à dénuder ses seins en les caressant. Ils étaient gros et lourds, pas autant que ceux de Juliette, mais ils étaient superbes. Antoine vit qu’elle avait remonté sa jupe très haut et qu’elle se caressait en même temps la chatte en ondulant de la croupe. Putain, que c’était bon ! Il décrivit en gémissant la situation à Juliette en lui disant qu’ils étaient tombé sur une grosse cochonne comme elle, qui avait des nichons de rêve et qui suçait sûrement aussi bien qu’elle. Prise au vif, Juliette se redressa, et tout en regardant la passagère elle souleva son pull et libéra lentement de son soutien-gorge ses seins magnifiques. Elle les pressa l’un contre l’autre en se les caressant lascivement et les tendit à Antoine pour qu’il puisse les sucer et les lécher. Elle titilla ses tétons pour qu’ils soient bien tendus puis se les caressa avec le gland trempé de la bite ...