Le Boulevard - Histoires de Sexe

Le Boulevard

... d’Antoine, pour ensuite les lui donner à lécher mouillés de son jus. La passagère se masturba de plus belle et renversa la tête en arrière, les yeux mi-clos, en faisant glisser une langue humide autour de ses lèvres entr’ouvertes. Satisfaite de son effet, Juliette repris sa caresse en branlant la tige de son homme et en lui léchant le gland alternativement. Antoine l’encourageait en lui disant qu’elle était sa grosse vicieuse. Elle lui répondait en gémissant qu’elle aimait ça, de sucer sa grosse bite, qu’elle allait le faire juter dans sa bouche et qu’elle allait tout avaler. Il explosa quand, cessant le mouvement de sa langue Juliette aspira son gland avec un bruit de succion mouillé et quand il vit, au même moment comme si elles l’avaient fait exprès, la passagère qui se léchait le bout des seins en lui décochant un regard de grandiose salope qui laissait à des années lumières tous ceux dont Juliette avait pu le gratifier, même dans ses plus grands moments. Il gicla dans la bouche chaude et humide en s’agrippant aux nichons et cheveux de sa douce, secoué d’un spasme ...

... formidable qui le fit gueuler comme un âne. Juliette reçut avec passion le foutre chaud d’Antoine qui envahit sa bouche. En lui massant la queue et les couilles elle l’avala lentement en alternant mouvements de déglutition et de succion, prenant bien soin de conserver le membre dans la chaleur de sa bouche. Elle gratifia Antoine d’un de ses regards vicieux et affectueux dont elle avait le secret et ils virent la passagère prendre son pied la tête renversée en arrière, les seins offerts et les genoux relevés. Le brouhaha autour d’eux les ramenait à la réalité, on entendait les portes claquer et les moteurs vrombir. L’embouteillage semblait se résorber. A peine rajusté, Antoine passa la première pour tourner au carrefour qui se libérait. Lovée contre lui, Juliette lui susurrait à l’oreille des petits mots cochons et il caressait ses seins encore frémissants. Elle remit correctement sa queue dans le pantalon et fit un petit signe de la main à la passagère alors qu’ils quittaient les lumières du boulevard. Et elle lui dit : Dis donc, c’était pas ton boss qui était au volant à côté d’elle ?