1. Catherine II, une grande amoureuse


    Datte: 13/02/2020, Catégories: fh, ff, historique,

    ... buccales, se tordant de plaisir quand la langue de Maria se promenait sur les boucles blondes couronnant son mont de Vénus. Jouant avec les phallus, elle lui avait appris toutes les positions les plus propices à l’enfantement. Dessus, dessous, par derrière, rien ne lui était étranger, rien ne la rebutait. Fallait-il que le grand-duc fût un imbécile pour ignorer un tel tempérament ! Elizabeth le savait, tenue au courant point par point de l’évolution de la situation grâce aux dépêches codées de Maria. Faire un héritier devenait urgent ; il fallait prendre des mesures, et si besoin, en bonne logique militaire, faire appel à des renforts. Il ne s’agissait pas d’adultère mais de devoir patriotique ! L’impératrice savait que les régiments de la Garde débordaient de jeunes officiers qui dévoraient des yeux la grande-duchesse. — Il sera le sabre, elle sera le fourreau ! L’heureux élu s’appelait Sergueï Vasilievitch Saltykov. Pour qu’il déflore la grande-duchesse, Maria usa d’un subterfuge sur ordre de l’impératrice Elizabeth. Le couple fut invité à une soirée où le jeu était roi, où l’alcool était reine. Pierre et Catherine ne mirent guère de temps à s’enivrer. Sur un signe discret d’Elizabeth, ils furent emportés dans leurs appartements respectifs. Un ...
    ... chirurgien examina Pierre et découvrit la cause de son manque d’empressement : un phimosis. Le problème fut réglé en un tour de main et de bistouri. Pour la grande-duchesse, il était temps que vienne la révélation. Marie la prépara longuement. Lorsque Saltykov s’étendit sur le lit, Maria lui prodigua une fellation appliquée d’un air concentré mais détaché, un artisan faisant du bel œuvre. Le garçon n’eut plus qu’à se présenter entre les cuisses de Catherine qui l’accueillit avec un cri de surprise et de bonheur. Quinze ans plus tard, Catherine s’en rappelait encore. Elle avait pleuré, mais après elle s’était sentie heureuse comme elle ne le fut jamais par la suite : elle était enfin devenue une femme et elle pourrait désormais partir à la découverte de son corps et rattraper le temps perdu. Elle s’y consacra corps et âme. Elle se fit faire un enfant par son mari, collectionna les amants et, lasse des frasques de son époux, le déposa par un coup d’État. A trente-cinq ans désormais, l’a-t-elle rattrapé, ce temps perdu ? Elle se le demande en caressant la verge de son amant. C’est parce qu’elle aime les hommes qu’elle aime les dominer. Comme cette vieille catin d’Elizabeth qui lui avait, en fait, montré la voie. Oui, un jour on l’appellera « Catherine la Grande » ! 
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