1. Vacances, sexe et exhib. (6)


    Datte: 21/09/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Moi, une chienne ? Le festival continue. Pendant que je m’occupe d’elles, j’échafaude des plans doucement mais sûrement. Elles veulent montrer leur minette à tout le monde ? Vous aller voir… Je m’agenouille, embouche la fleur d’Élodie. Comme Tatiana, je suce, mordille, aspire, lèche et la fais gémir, couiner, haleter – moi, j’ai la chatte en feu – et pour finir elle aussi jouit, et en plus je crois qu’elle m’a pissée dans la bouche. «putain… Ça, tu vas me le payer, espèce de grosse dégueulasse ! » J’ai bien envie de lui gueuler dessus, mais ma condition d’esclave que je savoure avec délectation ne me permet pas de dire quoi que se soit. Arrive le tour de mon chéri. Lui, je lui taille une pipe de compétition ; elle est appliquée et méthodique. Je le lèche, le suce, lui fais aussi une gorge profonde, maintenant que je sais ce que c’est. La réalisation est un peu compliquée car son sexe assez gros ne passe pas ; mais avec de l’entraînement, je vais y arriver. Mon téléphone sonne. Ah, c’est l’heure ! Je me lève. Au passage, je croise le regard de mon chéri. Je lui envoie un regard sensuel et coquin, et je vais vite chercher sa langue en un baiser bruyant ; son regard et son sourire en disent long. Je m’installe courbée en deux, lepubis en appui sur le bord de la table, la poitrine écrasée sur le plateau, les jambes bien écartées ; j’offre aux regards la totalité de mon intimité. Quelque chose passe autour de mes chevilles – elles sont en train de m’attacher les jambes aux pieds ...
    ... de la table – puis mes poignets sont aussi prisonniers. Les cordes – ou plutôt la drisse pour les voiles du bateau, il y en a plein dans le garage – courent sur la table et sont attachées. Je suis à leur merci : impossible de faire le moindre mouvement. La sensation est étrange ; exposée ainsi, je me sens humiliée. — Pat, tu n’avais pas une course à faire ? demande Élodie. — Si ; j’y vais. Amusez-vous bien ! Amusez-vous, amusez-vous… Je voudrais bien t’y voir ! Il a peut-être raison ; mais bon, j’ai demandé, donc j’assume. Je suis terriblement excitée. Pat est parti je ne sais où, et moi attachée sur la table, le cul à et en l’air, j’attends. Avec ces deux tigresses ! C’est vrai qu’elles ressemblent plus à des tigresses qu’a deux chattes douces et câlines. D’un seul coup, il y en a une qui me prend par les cheveux et me tire la tête et arrière. Elle me fait mal, la vache ! C’est Tatiana. — Alors,petite pute, tu aimes qu’on s’occupe de toi ? Hein ? Dis-le que tu aimes qu’on te fasse des misères. Tu veux du sexe ? Tu vas en avoir… Dis que tu en veux plein, et te faire fouetter aussi. Réponds ! — Oui, je veux du sexe. Oui, faites-moi plein de trucs et du fou… fouet. Oui, je le veux ! Mais pas de marques, hein. Je ne sais pas dans quoi je m’embarque ; je suis hyper excitée et je mouille comme une fontaine. — Ne t’inquiète pas. Regarde. Tatiana me montre ses fesses. — Tu vois des traces ? — Non. — Alors, tu veux essayer ? Nous, on va se faire plaisir : pendant qu’une de nous deux ...
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