Vacances, sexe et exhib. (6)
Datte: 21/09/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... te fouette, tu suceras l’autre, et inversement. Ça te tente ? — Allez-y, faites comme bon vous semble. Tatiana est derrière moi ; je ne sais pas comment et avec quoi elle va me fouetter. Élodie monte sur la table. J’ai sa chatte dans ma bouche, tellement elle est près. Je suce, je lèche. Un premier coup s’abat sur mes fesses. Ça me chauffe mais j’aime bien ; c’est grand. Chaque coup porte sur mes deux fesses en même temps. J’avais un peu peur de souffrir ; eh bien non, j’adore ! Je suce, je lèche, je gémis à chaque coup et compte 1… 2… 3… 4… 5… Puis plus rien. — On change, déclare Tatiana. Elles changent de place. Maintenant, j’ai la founette de Tatiana dans la bouche. Je me tends un peu, ferme les yeux et suce à nouveau. J’ai très chaud aux fesses ; mon sexe me pique de plaisir et de désir. Je voudrais qu’elle me rentre un gode ; ou mieux, que Pat soit là. Je viens de compter encore cinq coups, puis plus rien. Si elles me détachent, c’est la fin. J’en aurais bien voulu encore un peu… J’ai envie de réclamer, mais je me ravise car nous ne sommes qu’au début de la journée. — Va t’allonger sur le transat ; celui qui a une serviette posée dessus. Et sur le ventre ! ordonne Tatiana. — Tu as aimé ? demande Élodie. — Oui. Merci de m’avoir donné ce plaisir. — C’est bien, tu deviens docile. Nous allons nous occuper de tes fesses ; détends-toi, laisse toi aller. Avant, tu bois ça ; tu dois avoir soif. Oui, j’ai soif. Je prends la bouteille d’eau ; elle fait un litre et demi. J’en ...
... avale une partie, mais quand je vais pour la reposer… — Tout ! exige Tatiana. — Mais, je vais avoir… — … envie de pisser ? C’est le but. Allez, avale ! Je me force. Je voudrais bien t’y voir, avaler un litre et demi de flotte ! J’ai compris ce qu’elles veulent faire : me faire boire beaucoup d’eau pour me donner envie de pisser et m’obliger à me retenir. Je l’ai déjà fait une fois ; c’est terrible, je n’ai pas tenu une heure (mais j’avais bu deux litres d’eau, et là il n’y en a qu’un litre et demi). Élodie me met un casque sur les oreilles ; il diffuse une musique douce. Le soleil me chauffe le dos et mes fesses déjà brûlantes ; je ferme les yeux et me laisse aller. Quelque chose de frais coule sur mes fesses ; c’est de la crème. Deux mains l’étalent généreusement, et petit à petit la chaleur s’estompe faisant place à une sensation de fraîcheur. De la crème coule sur mon dos ; ce n’est pas la même, elle est plus liquide. Deux autres mains l’étalent puis massent mon dos et mes épaules. Entre mes fesses, des doigts frôlent mon anus et ma fleur ; le temps s’arrête, je savoure cet instant. Instinctivement, j’écarte les jambes : un appel, une invitation à venir en moi pour ces doigts curieux. J’ouvre un œil et découvre juste devant mon nez la vulve d’Élodie (je suppose) ; elle est accroupie, visiblement nue. Je referme mon œil car des doigts sont en train d’entrer en moi, provoquant un frisson démarrant de mon étui, passant par ma colonne vertébrale pour terminer je ne sais où. Ils me ...