Vacances, sexe et exhib. (6)
Datte: 21/09/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... contracter pour ne pas évacuer avant l’ordre. Enfin nous nous arrêtons à la lisière de la haie de cyprès. — Assis ! Donne la papatte ! Je m’exécute ; en position de chien assis, je donne la papatte à sa mémère avec en plus un « Wouaf- wouaf ! » voulant dire « Bouge tes fesses, ça urge ! » — Recule sous les arbres et pisse ! m’ordonne Tatiana qui lâche la laisse et retourne à la piscine. Je n’y tiens plus ! Vite fait, je me tourne, enfile mon derrière sous les arbres, enlève le plug et pousse ; je vous passe les bruitages. Tout sort. Je me vide ; c’en est presque jouissif. J’ai fini. Je remets le plug et je gambade ; du moins, j’essaie. Arrivée au bord de la piscine, j’ai envie de plonger. — Tu t’es lavé les fesses au moins ? Je fais un non de la tête, accompagné du « Wouaf ! » réglementaire. Tatiana pointe un doigt vers le sol. — Viens ici ! J’obéis, docile, approche du « ici ». Tatiana prend le tuyau d’arrosage et ouvre le robinet à fond. C’est un torrent d’eau glacée qui m’asperge ! Elle tire sur la queue ; le plug sort mais est remplacé par le jet d’eau. C’est court, mais intense et glacial. Je couine comme un chien qui pleure. Elle me remet le plug. Je lève la tête ; Pat arrive. Lahonte m’envahit. Avec la queue dans le cul et le collier plus la laisse, je me sens rougir. — Waouh, Tatiana ! Tu as une jolie chienne à ce que je vois. Comment s’appelle-t-elle ? — Julie. Tu n’as pas un mâle pour la saillir ? Mon cœur s’arrête, puis tape dans ma poitrine comme un fou. Ils ne ...
... vont pas me faire ça… — Si, je vais le chercher, annonce Pat en se dirigeant vers la maison. Je tremble. Je ne sais pas si c’est de peur ou d’excitation. Élodie apparaît ; elle tire sur une laisse. C’en est trop ! Je tremble encore plus… Dans une fraction de seconde, je vais hurler le mot de sécurité. L’attente est longue ; la laisse se tend, mais toujours rien ni personne. Enfin l’animal qui est au bout semble avancer et apparaît. C’est Pat ! Ah oui que je veux bien me faire saillir par celui-là. Élodie et Tatiana nous détachent. — Allez jouer sur la pelouse ; et pas de trous, sinon maman va vous donner la fessée ! Elles sont vraiment barjes ; j’ai eu la trouille de ma vie. Pat arrive à quatre pattes. Nous jouons, nous nous léchons le museau, il me renifle le cul comme un chien qui veut monter sa chienne. Il me lèche le visage, la bouche ; nos langues se mélangent. Il couine, et moi aussi. Je me roule au sol les quatre pattes en l’air ; il en profite pour me renifler la chatte et la lécher généreusement. À son tour il se met sur le dos ; à mon tour je lèche son sexe et l’embouche. Et là, c’est sans les mains. Puis je tourne autour de lui en couinant comme une chienne en chaleur. En chaleur ? Oui. Chienne ? Pas sûr. Quoique… Je tourne, remue du croupion, la queue avec. Enfin cet imbécile de chien a compris mon langage. Il se met sur ses pattes, me renifle la chatte, lèche un coup, se glisse au-dessus de moi et me pénètre sans douceur. Pas de doigt avant, pas de cunni… À sec ! ...