1. Vestibule.. une femme épanouie et toujours amoureuse


    Datte: 14/02/2020, Catégories: fhhh, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme

    Je vous confie ce récit pour que vous m’expliquiez O., une femme épanouie et toujours amoureuse. O. habite une belle maison de ville, dont on a découpé les grands appartements d’antan en petits studios bien mal découpés : La plus grande pièce est le vestibule d’entrée qu’O. a divisé à l’aide d’une grande tenture : la plus grande partie derrière le rideau sert d’armoire et de remise. La salle de bain – qui n’a pas toujours été une salle de bain, est immense. La petite pièce du fond est à la fois séjour, pièce de travail et chambre à coucher. · O., 26 ans, étudiante, belle brune, grande bouche sensuelle, - dont je suis éperdument amoureux depuis quelques mois. · Moi, M., qui aurai la drôle d’idée de me cacher derrière le rideau du vestibule. · Sad, un ancien voisin, qui a habité l’appartement du dessus. · Pedro, un étudiant chilien qui donne des cours d’espagnol à O. · Le Prof., qui est vraiment son professeur à la fac. O. et moi nous sommes promenés dans le parc à l’ombre des grand arbres, avons mangé une glace et regardé des photos sur le balcon jusqu’à ce que le soleil disparaisse derrière les toits. Je suis allé chercher deux verres d’eau. O. vient de mettre un concerto pour piano et orchestre. Elle s’est assise au beau milieu de la pièce à même le sol sur le parquet de bois, les jambes un peu écartée, le dos bien cambré, la petite robe à fleur en coton retroussée juste au-dessus du genou, pieds nus. Je viens m’asseoir derrière elle, je mordille les bretelles de sa robe, ...
    ... j’effleure des lèvres ses épaules dorées. Ces cheveux sentent si bon. Est-elle amoureuse elle aussi ? Elle dit parfois qu’elle m’aime bien. Nous n’écoutons que le premier mouvement, O. m’a offert son après-midi mais il faut qu’elle se mette au boulot. Elle me dit de revenir bientôt, qu’elle aura bientôt plus de temps. Je lui frôle l’avant bras, lui dépose un petit bisou sur la joue et lui dit « à bientôt …». Elle reste à son bureau, je traverse seul le vestibule. Je l’aime. Si j’avais crié « SA-LUT » et j’étais sorti, cette histoire pourrait s’arrêter là. J’ai crié « SA-LUT », j’ai fait claquer la porte - comme si j’étais sorti - et me suis caché derrière la tenture installée dans le vestibule pour faire d’un recoin une espèce d’immense armoire et débarras où s’entassent des manteaux d’hiver, une raquette de tennis, une caisse à outil… Sad On frappe à la porte. Je vois une ombre à travers la vitre cathédrale. J’entend les pas de O. qui vient de la pièce du fond. Je n’ose plus respirer. Elle ouvre la porte. « Bonjour O. , Tu as le temps ? J’avais envie de passer,.. » C’est Sad, le voisin du dessus, ou plutôt l’ancien voisin, je le connais un peu. « .. Non,… tu peux entrer si tu veux mais juste 2 minutes: M. vient juste de partir, Fernando va arriver pour mon cours d’espagnol, et après mon prof. veut passer récupérer un chapitre de ma thèse et ce soir j’ai une répétition de danse et je n’ai rien de prêt,… » Elle repart vers le fond sans attendre, il la suit, pousse la porte ...
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