1. Vestibule.. une femme épanouie et toujours amoureuse


    Datte: 14/02/2020, Catégories: fhhh, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... derrière lui, - et dans la fente du rideau je vois comment en deux pas il la rattrape, se colle derrière elle, il l’arrête en l’entourant de son bras gauche et la plaque contre lui. Elle ne dit rien, semble retenir son souffle. Avec la main droite il commence à lui masser les épaules, lentement, puis la pousse en avant. Elle se penche, se tient d’abord les chevilles puis prend appui au sol, ses cheveux balaient le sol. Ils n’ont pas échangé un mot. La main de Sad descend puis remonte le long des jambes en retroussant la robe de coton. Ce sont mes rêves, mes phantasmes, mon innocence que l’on viole en quelques minutes dans le vestibule. Il lui masse les fesses, tire sur la petite culotte noire qui glisse sur ses jambes. Elle est pliée en deux, la robe est retroussée sur son dos. Ces fesses sont offertes à ce type. Dans la pénombre de l’entrée je reconnais la marque de la trace de son maillot de bain. Je l’avais déjà souvent reluqué son petit slip de bain bleu marine à poix blanc, un bikini qu’elle avait du déjà porter à 16-17 ans. À 26 ans, avec un corps parfait – le bikini lui allait toujours bien mais était un peu étriqué. Ce n’est plus la position si humiliante qui m’apparaît obscène mais la marque de bronzage. La ligne est bien nette et le triangle blanc m’apparaît très petit, je n’avais pas réalisé qu’au bord du lac elle refusait d’enlever le haut mais exhibait beaucoup de ses fesses. Tout cela me fait bander mais je pressens l’horreur : Ce type au jeans usé, les ...
    ... cheveux un peu crade, va enculer cette fille si fragile que j’ai tant désiré, et dont j’ai parfois caresser la main quand nous étions en confiance. Il la fait se relever et la retourne vers lui. Elle se tient debout devant lui comme une petite fille que l’on va gronder. Elle sourit, elle a l’air désolée. Il fait glisser les bretelles vers l’extérieur, la robe glisse, le sein gauche est maintenant découvert : ferme, d’une forme si douce, d’un teint si pâle. Je retrouve le trait de la marque de bronzage, si net, si fin sous la bretelle, comme si le tissus n’avait jamais glissé pendant les séances de bronzage. C’est elle qui de la main fait glisser la robe restée accrochée au téton de son sein droit. Le tissus tombe au sol, elle fait glisser la robe sur le coté. Il la prend par les épaules et la retourne, son dos est superbe, j’aimerais toucher et sentir ces boucles qui lui descendent jusque dans le creux des reins. A nouveau il la pousse en avant et docile, elle se plie en deux. Il lui caresse l’intérieur des cuisses, lui écarte les jambes. Je vois les larges épaules de Sad, il est en veste, elle est nue. D’une main il la tient à la hanche, je vois la pression de ses doigts sur la hanche, je devine que sa main droite plonge entre les jambes d’O. Elle pousse un petit cri, un râle. Il se baisse – je l’entend cracher entre les fesses d’O., j’ai juste le temps d’apercevoir que tout son pouce est enfoncé dans le petit trou d’O tandis que ses autres doigts ont disparu dans la touffe de ...
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