1. Vestibule.. une femme épanouie et toujours amoureuse


    Datte: 14/02/2020, Catégories: fhhh, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... poils. Elle crie : Sad ! arrête !, arrête ! je conviens que le ton pourrait vouloir dire « oui ! prend moi !.. », Sad ralenti ses mouvements, se penche vers elle, elle geint, elle crie, elle est au bord de l’orgasme, elle explique que Pedro va arriver, qu’elle doit encore corriger un texte,… Sad la laisse se relever, réajuste sa veste. Il prend le visage d’O. entre ses mains, lui donne un baiser sonore sur la bouche et la laisse plantée là, dans l’entrée, complètement nue. Pedro A peine Sad est il sorti, qu’à nouveau on sonne. O. disparaît dans le fond du studio et revient immédiatement avec ce fameux bikini bleu marine à poix blancs à la main. Elle enfile le bas et déjà je vois l’ombre de Pedro à travers la vitre cathédrale. Elle entrouvre la porte, Pedro entre tandis qu’elle finit d’emballer ses petits seins dans le soutien-gorge (ce sont juste deux petits triangles et un bazar de ficelles). Pedro regarde sans rien dire. — « Pedro, excuse moi, dit-elle, c’est le grand stress aujourd’hui, je reviens juste d’un jogging avec M., ce soir j’ai répétition de danse, mon prof. veut passer récupérer un chapitre de ma thèse, il faut absolument que je prenne une douche… »— « Ce n’est pas de problème », - dit Pedro (voix très grave et fort accent espagnol), « Dis-moi si tu as le temps, moi je peux t’attendre… »— « Alors si tu veux bien, … lui dit-elle, en entrant dans la salle de bain, je me fais couler un bain. pendant que je vais faire un petit pipi tu prends une chaise à la ...
    ... cuisine, tu t’installes à côté de la baignoire et nous nous faisons une heure de lecture.» Pedro est planté au milieu du vestibule, regarde cette fille superbe en petit bikini bleu à poix blanc en train de se faire couler un bain. Elle ressort et va aux toilettes, Pedro entre dans la salle de bain avec sa sacoche en cuir et une chaise de cuisine. Derrière ma tenture je ne vois plus ce qui se passe dans la salle de bain : Je doute qu’elle entre dans l’eau en bikini mais je ne veux pas non plus croire qu’elle s’offre aux regards de Pedro. Clapotis d’eau, j’essaie de reconstituer, de compter les secondes, a-t-elle eu le temps de se déshabiller. Pedro a un bouquin de Garcia Marquez, il dit que c’est au moins aussi torride que cette fin de journée et lui propose de lire et qu’elle l’interrompe si elle ne comprend pas. Je ne comprend rien mais la voix de Pedro semble est chaude et douce. Que fait-elle ? Le vestibule est sombre, la salle de bain bien éclairée, j’enlève mes mocassins et traverse le vestibule sans bruit pour aller regarder dans la fente de la porte. O. est complètement allongée sous la mousse. La tête légèrement tournée sur le côté est calée sur une serviette de bain en guise de coussin. Elle lit avec un regard attendri sur les lèvres de Pedro qui ronronne son Garcia-Marquez. La mousse me semble épaisse, ses épaules, ses bras sont sous l’eau. Je ne devine que les genoux juste à la surface de l’eau. Les genoux sont presque contre le bord de la baignoire, les jambes sont donc ...
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