1. Le choc du passé et la promesse d'un avenir radieux


    Datte: 14/02/2020, Catégories: fhhh, fagée, couplus, extracon, anniversai, Collègues / Travail Oral fist, double, Partouze / Groupe confession, totalsexe, couple+h,

    ... Quelques minutes plus tard, frais et dispos, j’emprunte le couloir qui mène à l’escalier. Tiens, la porte de la chambre d’ami où Arthur a dormi est entrouverte et une douce musique s’en échappe. C’est un duo ou je reconnais les feulements de mon épouse rythmés par le choc des muscles. Arthur est en train de la prendre avec ardeur en levrette et tous deux me sourient lorsque je franchis la porte. Ses mains emprisonnent les hanches de sa maitresse, imposant un mouvement où son sexe ressort avant de replonger pour être bloqué par le choc des cuisses contre les fesses. Les seins et les testicules oscillent de concert. Charmante vision. Dans un mouvement plus violent, Anne tombe en avant, la tête sur le lit. Cette position est un appel à la sodomie et Arthur s’engouffre sans retenue, sans préparation dans le cul offert. Aussitôt la chanson recommence avec ma belle enculée qui ne retient pas ses cris de plaisir et les encouragements à son amant. Je décide de les laisser pour aller préparer le petit déjeuner car je les imagine affamés après ces exploits. Mais, vingt minutes plus tard, ne voyant personne venir je remonte, pensant les trouver endormis. La porte est fermée, mais la même musique s’en échappe. Je pense : quelle santé ! Et j’ouvre. Le spectacle a changé, ou tout le moins un des acteurs a changé. Ma tendre épouse est en train de chevaucher l’ami Georges qui, lui aussi, a dormi à la maison. Elle est en train de se baiser, les yeux clos, une main caressant son clito pendant ...
    ... que l’autre maltraite la pointe d’un sein que Georges presse pour lui offrir. Arthur qui sort de la salle de bain les regarde un instant et m’entrainant dans le couloir me dit : — Tu es un homme heureux d’avoir à la maison une femme comme Anne. Elle t’aime, t’est fidèle, enfin presque, et j’ai rarement connu une amoureuse comme elle. Se réveiller le matin bien au chaud dans sa bouche est une jouissance que beaucoup d’hommes t’envieraient. Que dire à ces compliments ? Nous déjeunons alors que Georges arrive. — Eh bien, dis donc. Elle a mangé du lion. Je demande : — Anne ne vient pas ?— Elle se repose. Le temps passe. Nous bavardons, enfin mes amis ne font que chanter les louanges de ma femme, grande amoureuse devant l’Éternel. Je m’impatiente et remonte à l’étage. La porte est ouverte et une femme repose sur le lit. Ses cheveux cachent son visage et je peux imaginer une inconnue, alanguie… non, offerte, bras et jambes écartés. Je m’avance, rampe sur le lit pour découvrir une chatte d’un rouge lumineux, écarlate, que des trainées de sperme blanchâtre ne font que souligner. — Oh, chéri, c’est toi ? demande la belle inconnue qui dégage les cheveux de son visage. Ça va, tu n’es pas fâché ? Tu sais, en me réveillant j’étais encore toute excitée et tu dormais si bien que je n’ai pas osé te réveiller. Et en descendant j’ai croisé Arthur et… tu connais la suite.— Mais non, chérie, tu as bien fait. Mais en réalité je pense qu’elle se sent coupable d’avoir enfreint le code non écrit : ...