Le choc du passé et la promesse d'un avenir radieux
Datte: 14/02/2020,
Catégories:
fhhh,
fagée,
couplus,
extracon,
anniversai,
Collègues / Travail
Oral
fist,
double,
Partouze / Groupe
confession,
totalsexe,
couple+h,
... pas sans moi. Sinon, pourquoi me mentir ? Je sais, par Arthur, qu’Anne est entrée dans sa chambre alors qu’il dormait encore et que c’est par une fellation qu’elle l’a réveillé. Au contraire ce petit mensonge renforce mon fantasme de renouveler ce que j’ai fait hier soir. Ma main plonge vers sa chatte. Mes doigts, ma paume, mon poignet se frottent à son pubis et son sillon pour se lubrifier au contact des sucs de ma femme et de ses amants. À nouveau ses petites lèvres s’écartent et son vagin absorbe ma main jusqu’au poignet. Anne ne proteste pas, au contraire elle plie ses jambes pour soulever son bassin. Quel spectacle étrange que le soleil du matin éclaire d’une lumière crue. Je pense un instant que c’est trop, que nous dépassons les bornes, que je traite ma femme comme un objet, mais… elle ne semble pas insensible, au contraire ses mouvements du bassin la font bouger autour de ma main. J’ose bouger les doigts, tourner le poignet. Elle aime, gémit, accentue ses mouvements et les parois de son sexe se contractent. Je crois que d’une certaine façon elle jouit mais que ce plaisir la tétanise et devient douloureux. Doucement je la libère. Je pense que nous venons de découvrir un nouveau jeu et déjà je me vois usiner sur mon tour de menuisier des sexes énormes lisses et patinés. Mais mon propre sexe me rappelle à l’ordre tellement il est comprimé dans mon boxer. Je le libère, et spontanément Anne lève les jambes pour me présenter son anus. Lui aussi est humide, à peine ...
... entrouvert, mais me livre le passage sans difficulté. C’est étrange de pouvoir se demander si c’est la première, la deuxième ou la troisième queue qui le visite ce matin, mais moi, je suis le propriétaire. Qu’elle pensée idiote ! Anne ne me trompe pas avec Georges et Arthur. C’est notre choix, c’est mon choix de l’offrir à d’autres pour la faire jouir. Mais oui, ma queue glisse dans le sperme des autres. C’est bon. Ce lubrifiant, naturel, écologique, décuple mes sensations. Je vois mon gland prendre sa respiration avant de replonger dans le conduit inondé ou la pression dilate le passage étroit avant de refluer et jaillir du cul. Bien sûr c’est imagé, exagéré, impossible mais je m’en fous, je la baise avec force. C’est ma femme. Elle m’aime. Elle me le crie. Elle m’encourage. Elle est vulgaire. Elle me parle de queue, de cul, de bite, de sperme, de foutre, de salope. Je ne l’entends plus. Je crie mon plaisir et je crache de telles quantités de foutre que je vais la noyer. Je m’effondre, incapable de reprendre mon souffle. Quelques instants plus tard je sors de ma torpeur. J’écrase ma femme de tout mon poids, ses jambes plaquées sur ses épaules. Nous ruisselons de sueur. Je glisse sur le côté pour la laisser respirer. Georges et Arthur sont là, sur le pas de la porte. Je suis heureux de leur présence car d’une certaine façon je viens de clore cette partie de baise et de montrer que je reprends possession de mon bien. Plus tard nos amis nous quittent, non sans que nous promettions à ...