1. Une autre fois, qui sait ?


    Datte: 15/02/2020, Catégories: f, fhhh, fsoumise, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral coprolalie, Partouze / Groupe fsoumisah,

    Résumé de la première partie : «Un début » Je m’appelle Caroline, j’ai 22 ans et j’ai passé une grande partie des dernières années à me consacrer à mes études puis à mon premier boulot. Je n’ai pas su prendre plus de temps libre pour mes amours et mes premières payes n’ont pas servi à aller m’amuser avec mes amis, mais plutôt à me payer des meubles et du matériel pour m’installer dans mon appartement. Cet hiver, au cours d’un séjour chez des amis, j’ai découvert le monde de l’érotisme torride en visionnant des films et cela a changé beaucoup de choses pour moi. ************ J’ai décidé de changer, de devenir sexy, de draguer et de faire tout pour attirer l’attention des hommes à tel point que je ne me reconnaissais plus. Plus sûre de moi, j’ai essayé de séduire un collègue et je me suis comportée de façon très sensuelle avec lui en lui envoyant un message illustré très chaud, mais sa réponse a tardé à venir. La réponse arrive enfin et je reçois une belle claque en le lisant : Je suis seule sur mon lit à lire ça et je me mets à pleurer. J’ai l’impression que je ne vaux rien, que personne ne veut de moi et que tout ce que j’avais imaginé va tomber à l’eau. De dépit, je me précipite vers la commode où j’ai rangé les dessous sexy achetés dernièrement, je les sors du tiroir, je les jette par terre. J’ai envie de tout mettre à la poubelle. Je suis inconsolable et mes larmes coulent à grosses gouttes. Il faut que je prenne quelques jours de congé. Je ne peux pas aller travailler ...
    ... dans cet état, je le sais bien. Je ne veux pas revoir cet abruti. Non, ce n’est pas un abruti, c’est moi qui me suis conduite comme une cruche. Je ne lui en veux même pas. Je passe un coup de fil au boulot pour dire que je ne vais pas bien, que je pose quelques jours et qu’au besoin je récupérerai. J’ai besoin de prendre du champ. C’est comme si tout s’écroulait et j’ai le haut-le-cœur. Je finis par téléphoner à Solange pour lui dire que je ne vais pas bien et puis pour lui dire que j’ai suivi ses conseils, mais que je me suis pris un vent. Je lui demande si je peux venir chez elle, mais ça a l’air de l’ennuyer. Elle essaye de trouver des excuses pour que je ne vienne pas, mais je pleure tellement qu’elle finit par céder. Très vite, je prépare mes affaires, je me trouve un billet et me voici dans le train à repenser à tout ce qui s’est passé les derniers mois. Tout est allé trop vite, mon séjour chez Solange, les films de cul, mes achats coquins, mes essais de séduction, ma tentative appuyée et puis ce vent. Je ne m’en remets toujours pas. J’arrive chez Solange la mine déconfite, mais décidée à lui raconter toute l’histoire. Toute l’histoire ? Non, une partie plutôt, car si je lui racontais toute l’histoire je passerais pour une cruche, une ratée et puis je ne veux pas qu’elle s’inquiète pour moi. Je ne lui raconte donc qu’une partie, la partie qui a fait que tout est arrivé. — Tu sais, l’autre jour quand vous êtes sortis et que je suis restée ici toute seule, avant d’aller me ...
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