Une autre fois, qui sait ? - Histoires de Sexe

Une autre fois, qui sait ?

... faire que le cours des choses reprenne. — Je vous avais bien dit que depuis trois semaines Solange avait le feu au cul et que quand vous viendriez, elle serait chaude. Tu vas les branler jusqu’à ce qu’ils te jutent sur la langue, ma chérie. Tu as compris ? Dis-leur que tu es une petite salope et que tu as envie de boire leur sperme.— Non, ce que je veux surtout c’est…— Oui ma chérie, je sais ce que tu veux. Tu veux te faire sauter et qu’ils te baisent tous les trois en même temps. Dis-leur ce que tu veux être leur salope ! Dis-leur ce que tu veux ! Devenue toute rouge, Solange commence à se lâcher. — C’est vrai, j’ai envie de ça ! Prenez-moi ! Remplissez-moi la chatte. Je suis votre putain.— T’es une sacrée petite salope, toi ! On va t’enfiler comme tu le mérites. Allez, on va commencer par là, ouvre tes fesses avec tes mains pour que je te défonce bien. Florian, mets-toi devant pour lui donner ta bite à bouffer. Allez, sors ta petite langue et tète sa queue !— Pompe-moi, ma toute belle et caresse-moi les couilles en même temps ! Je vais tout te mettre au fond de ta gorge et sur ta langue, tu vas voir, tu vas aimer… Malgré moi, malgré ma volonté à essayer de ne pas être excitée, je suis trempée à force de les regarder et les écouter. J’ai envie de me caresser, mais je ne peux pas le faire, là, devant tout le monde. J’aurais tellement envie que ces hommes me parlent comme ils parlent à Solange et qu’ils me prennent moi aussi comme si j’étais une putain. Le plus grand des ...

... trois gaillards qui est en dessous de Solange est déjà dans sa chatte et je le vois donner de grands coups de boutoir vers le haut pour la pénétrer en profondeur. Hervé assis sur une chaise n’en rate pas une miette. Il a sorti sa queue par la braguette, et se branle comme un malade. Je peux voir son gros gland violacé qui s’agite entre ses doigts et à le regarder, j’en ai l’eau à la bouche. J’aimerais fondre sur lui, lui prendre la queue et la sucer, mais je sens bien que je n’ai pas ma place dans ce quintette et au fond de moi, je sais que ce que j’ai dit tout à l’heure m’a coupé toute possibilité. Une peur m’envahit soudain, celle d’avoir peut-être perdu l’amitié de Solange. La voix d’Hervé me sort brutalement de mes pensées. — Elle ne veut pas le dire, mais si Solange a demandé que vous veniez ce soir, c’est parce c’est sa période de chaleurs. Solange a précipitamment ressorti de sa bouche le gland qu’elle était en train de sucer. Elle est toute pâle et se met à trembler. Elle a l’air très mal à l’aise. — Non, arrête, Hervé, non pas ça ! Ce n’est pas vrai ! Hervé, non !— Alors Solange, c’est des conneries ou quoi, ce qu’il dit ? Mon amie devient de nouveau toute rouge et d’une petite voix timide puis plus assurée répond : — Non, c’est… C’est vrai ! Prenez-moi toute ! Je suis à vous. Baisez-moi ! Donnez-moi votre foutre ! Je veux que vous crachiez votre sperme pour moi ! Je veux sentir vos bites gicler au fond de ma chatte ! Hervé n’attend que ça, que vous me remplissiez le ...