1. Une autre fois, qui sait ?


    Datte: 15/02/2020, Catégories: f, fhhh, fsoumise, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral coprolalie, Partouze / Groupe fsoumisah,

    ... quoi, ça va être ta soirée mon amour.— Et Caroline ? Qu’est-ce qui va se passer si elle se réveille ou qu’elle a besoin de descendre pour picorer quelque chose à la cuisine ?— Mais non, je suis sûr qu’elle dort comme un bébé. Je t’assure, tu t’inquiètes trop pour elle. Et puis merde quoi, on s’en fout ! On est chez nous, oui ou non ? De peur d’être vue, je me précipite vers ma chambre. Il était moins une, car Hervé et Solange sortent de leur chambre et descendent précipitamment pour aller voir à la porte. J’entrouvre de nouveau la porte de ma chambre et je me glisse à quatre pattes vers la rambarde de l’escalier pour voir ce qui se passe en bas, dans la salle à manger. Trois hommes entrent, accompagnés par Hervé et arrivent devant Solange pour lui faire la bise. Elle est toute nue si ce n’est des bas rouges qu’elle a gardés. Je réfléchis et je me dis que j’en voudrais moi aussi et que ça fera partie de mes prochains achats. Ils ont l’air de bien connaître les lieux, car l’un des hommes va vers le petit buffet près de la porte d’entrée, récupère une bouteille de pastis et cinq verres et commence à les remplir. Un autre est déjà en train de peloter les seins de Solange et de lui rentrer deux doigts dans la chatte. Je regarde à fond ce qui se déroule à quelques mètres de moi et j’ai l’impression de revoir l’un des films de cul d’Hervé. Ils ont sorti leurs queues et les présentent à Solange qui ne se fait visiblement pas prier pour les sucer alternativement. Ils parlent fort et ...
    ... même tellement fort que même si j’étais endormie, je me serais réveillée. Je ne peux pas, je ne veux pas faire semblant et prenant mon courage à deux mains, malgré que je sois dans une nuisette pas très jolie, je décide de descendre. En me voyant, Solange paraît horrifiée et les autres interloqués. — C’est ta sœur ?— Non, je n’ai pas de sœur, c’est une amie. Elle est ici pour quelques jours. Je suis désolée Caroline. Il vaudrait mieux que tu remontes, je crois.— Non, je ….— Elle a raison, mais tu peux aussi rester si tu veux. Plus on est de fous plus on rit. Viens on va faire connaissance ! Je les regarde froidement et en fait, je me rends compte qu’ils me dégoûtent et que la situation en elle-même me dégoûte, mais je ne veux pas partir. — Non, ça ne m’intéresse pas vos trucs. Vous faites ce que vous voulez, mais moi je ne participe pas.— Nos trucs ? C’est bon là, faut pas nous prendre pour de la merde non plus, là !— J’ai pas dit ça. J’ai dit que ça ne m’intéressait pas de me joindre à vous et puis….— Et puis, tais-toi ! Tu restes si tu veux, mais tu la fermes, OK ? Venez, on fait comme si elle était pas là. Solange me regarde avec un air fâché. Je crois qu’elle est énervée contre moi. Je n’aurais pas dû descendre et je m’en veux finalement. Ils sont là, à quelques mètres et font effectivement comme si je n’étais pas là. Je me sens vexée. Hervé, lui, ne m’a même pas regardée depuis que je suis descendue. Il me tourne le dos et d’une phrase, il arrive à effacer ma présence et ...