1. Le Téléphone sonne, tu décroches (2)


    Datte: 15/02/2020, Catégories: fhh, couleurs, extracon, cocus, inconnu, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode,

    ... sur son état d’intense félicité. Il n’y a que du bonheur. — Bonjour mon chéri. Tu vas bien ?— Euh ! Oui, je vais bien. Et toi ?— C’était divin.— Tu peux me raconter, s’il te plaît ? Elle se redresse péniblement afin de s’asseoir et s’étire doucement en écartant les bras. Que sa poitrine est belle ! Elle m’attire vers elle pour me donner sa bouche et un baiser long et passionné. Je sens sa main sur mon sexe. Puis elle remonte et essaie de trouver la ceinture. Je comprends ses intentions et la stoppe net dans son mouvement. — Je voudrais que tu me racontes.— Oh mon chéri ! J’ai très envie que tu me prennes tout de suite.— Non. Raconte d’abord.— OK. Cela ne s’est pas déroulé comme tu aurais pu te l’imaginer.— Comment ça ?— Eh ! bien voilà : « Après ton départ, je suis partie me laver et mettre le fameux string dont l’avant est relié à l’arrière par une rangée de perles qui suivent bien ma raie, passent entre mes lèvres et se posent sur mon clitoris. C’est bien le string qu’Éric m’avait demandé de mettre, souviens-toi, et il m’avait, également, prié d’aller lui ouvrir dans cette tenue. Ce que je fis quand la sonnette a retenti. Je ne te dis pas dans quel état de stress j’étais. Un mélange de peur panique qui te prend au ventre et d’excitation indescriptible dont les seuls signes extérieurs sont mes tétons durcis, mon visage rouge pivoine, mes palpitations cardiaques et des légers tremblements. Le désir d’abandonner et d’en rester là me hantait, mais la tentation était trop ...
    ... forte. J’en avais réellement envie et plus rien ne pouvait m’arrêter. Je sentais ma chatte trempée et j’avais même l’impression d’un écoulement sur l’intérieur de mes cuisses. J’ouvris donc la porte en grand. Éric me décrocha un large sourire de satisfaction auquel je répondis. Ensuite, mon regard se porta sur son apprenti. Je me suis figée sans pouvoir dire quoi que ce soit et tu vas, également, être étonné. C’était un beau grand black, magnifique. Ses yeux sortaient presque de ses orbites à me voir quasi nue et il me détaillait des pieds à la tête avec des arrêts, fréquents et longs, sur ma poitrine et mon sexe que les perles ne parvenaient pas à cacher. Je ne pouvais plus bouger. Me sentir exhibée de la sorte devant deux inconnus me procurait des nouvelles sensations. Mon cœur battait la chamade. Ma transpiration perlait sur tout mon corps à partir duquel une sensualité, à éveiller le désir sexuel de mes deux hommes, se dégageait. Je devais mouiller abondamment et Éric avait dû s’en apercevoir, car sa main est venue me caresser la vulve. D’instinct et pour lui faciliter son geste, j’écartais un peu plus les jambes. Mes yeux ne pouvaient plus se décrocher de ce beau noir. Ce fut Éric qui m’aida à sortir de ma torpeur en me présentant son apprenti. — Je te présente Samba. Il vient en droite ligne du Sénégal.— Bonjour Samba.— Tu nous permets d’entrer ?— Euh oui bien sûr ! Éric entra et m’attira contre lui. Mon corps fut happé par le sien, il en épousa toutes les formes tant je me ...
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