Le Téléphone sonne, tu décroches (2) - Histoires de Sexe

Le Téléphone sonne, tu décroches (2)

... collais à lui. Je m’abandonnais totalement et je sentais ses mains se promener partout sur moi. Sa bouche chercha la mienne et nous échangeâmes un baiser langoureux. Je frissonnais de partout et un ronronnement sourd sortit de ma gorge quand, tout à coup, je perçus les mains de Samba parcourir mon dos pour descendre sur mes fesses, les malaxer et de son doigt effleurer, timidement, ma raie et ma vulve. Je n’en pouvais plus. J’étais au bord de l’orgasme. Éric s’en rendit compte et arrêta son baiser pour me retourner et me mettre face à Samba. Je me collais à lui. Il s’est emparé de mes lèvres et j’ai senti sa langue douce et dure à la fois chercher la mienne. Je le serrais très fort. Son baiser était très doux. Je bu sa salive. Ses mains parcouraient délicatement ma poitrine. Elles descendirent, ensuite, sur mon ventre qui se rétracta sous l’effet de la caresse. Elles aboutirent sur mon pubis. Il tira, plusieurs fois, en avant, la rangée de perles qui frottèrent sur mon clitoris très réactif. J’ai senti, alors, venir un spasme qui me secoua entièrement, je ne pouvais plus contrôler mes tremblements. J’abandonnais la bouche de Samba pour enfouir ma tête dans le creux de son épaule. Un éclair m’aveugla, un feulement sauvage sortit de ma gorge et je fus foudroyée par un terrible orgasme. Il fut difficile de revenir à la réalité tant le moment était intense. Soutenue par mes deux hommes, je leur indique le salon et ils m’étendent délicatement sur le canapé. Éric s’assit près de ...

... mon buste. Il me peignait les cheveux avec sa main gauche et de la droite effleurait tendrement mon visage. Il se pencha et je lui offris ma bouche. Samba, qui était assis à l’autre extrémité, me massait les pieds, les jambes et remontait sur mes cuisses. J’écartais celles-ci et il en profita pour les flatter à l’intérieur remontant délicieusement jusqu’à toucher, du bout des doigts, ma vulve en feu. Éric abandonna ma bouche et commença à frôler mes seins. J’avais décidé de garder les yeux fermés et savourer ces attouchements prodigués par quatre mains. C’est une impression étrange et tellement agréable. Mon corps leur appartenait et ils l’avaient compris. Leurs mains se promenaient en douceur explorant mes moindres recoins et éveillant tellement de sensations inconnues pour moi. J’étais déterminée à me laisser aller. Je gémissais doucement. Ma respiration était profonde. Pour faciliter le massage délicat de Samba, j’avais fléchi les genoux afin de les écarter au maximum. Je me rendais compte que cette position frisait l’indécence, car je lui offrais une vue superbe sur ma chatte inondée et grande ouverte. Éric parcourait, sans relâche, ma poitrine titillant mes bouts devenus ultra-sensibles. Je frémissais. J’en avais la chair de poule. Samba avait arrêté son massage et voulut descendre mon string. Je soulevais un peu le bassin afin de lui faciliter la tâche et il l’enleva doucement, très doucement. Les perles quittèrent ma fente libérant l’accès à ma petite grotte d’amour. Je ...