1. Le Téléphone sonne, tu décroches (2)


    Datte: 15/02/2020, Catégories: fhh, couleurs, extracon, cocus, inconnu, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fgode,

    ... me suis sentie plus nue que nue. Je repris la même position, genoux largement écartés. J’émis un petit cri quand Samba a entrepris de me fouiller de ses doigts. Je me suis sentie m’ouvrir davantage, j’ai commencé à éprouver un vif plaisir au contact de ses doigts qui allaient et venaient dans mon vagin et en massaient délicieusement les parois. Je commençais doucement à partir. Tous ces attouchements, provenant de deux personnes différentes, me transportaient dans un état second. Mon bassin ondulait et allait à l’encontre des doigts inquisiteurs afin de les faire pénétrer plus vite et plus profond. Ma respiration devenait haletante. Éric roulait, de plus en plus fort, mes tétons. Je commençais à frétiller quand ils se sont arrêtés pour intervertir leur place. J’émis une exclamation de déception. Je restais focalisée sur mes seins et mon sexe qui brûlaient d’être à nouveau comblés. Samba me caressait les lèvres avec ses doigts trempés de ma cyprine. Je compris le message et je me suis mise à les lécher avant de les prendre en bouche. De son autre main, il reprit le travail commencé par Éric. Ce dernier alla chercher directement mon clitoris qui était hypersensible, gonflé de désir, et le décalotta délicatement. Ensuite avec ses doigts, il me branla énergiquement m’emmenant rapidement dans un état proche de l’extase. Tout mon corps était parcouru de frissons et de soubresauts. Je ne parvenais plus à me contrôler et ce fut l’explosion, un orgasme fulgurant. D’un coup et d’un ...
    ... commun accord, ils s’écartèrent de moi. Je les suppliais de me prendre. Tout mon corps ondulait. Je voulais les sentir en moi, qu’ils me possèdent. Je voulais être remplie de leurs semences. Je voulais sentir leur corps sur le mien. Je me suis calmée et j’ai ouvert les yeux. Ils étaient assis sur le fauteuil, en face de moi, et me regardaient en souriant. Je ne comprenais pas. Je pensais qu’ils s’accordaient une petite pause compréhensible, mais il n’en était rien. Ils ne bougeaient pas. Samba s’est levé, m’a donné le gode en main et ensuite a regagné sa place. À leur regard j’ai compris ce qu’ils attendaient de moi. Je me suis redressée, j’ai rapproché la table basse et je me suis assise sur le bord du canapé, mon dos posé sur le dossier et les pieds sur la table. J’étais juste face à eux à moins d’un mètre dans une position semi-couchée. Je soutenais leur regard et pris le gode dans ma main droite. J’écartais les genoux au maximum afin de bien dégager ma vulve, de ma main gauche j’ai libéré mon clitoris et glissé deux doigts sur ma fente qui était trempée. Je les regardais, leurs yeux étaient rivés sur mon sexe ruisselant et ouvert. Tous les deux avaient une terrible érection qui leur déformait le pantalon. J’étais de plus en plus excitée de m’exhiber de la sorte, sans aucune pudeur et retenue. Je fermais les yeux pour mieux profiter de cet instant et m’abandonner complètement à mon propre plaisir. En gardant ma main gauche sur ma vulve pour en écarter les grandes lèvres, j’ai ...
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