1. Blue Horse Motel


    Datte: 15/02/2020, Catégories: fh, fhh, couplus, extracon, hotel, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, fouetfesse,

    ... suit la rondeur de son sexe. Elle l’ouvre doucement. Son bassin est placé face à moi. Par l’ouverture qui s’élargit, j’aperçois sa chatte. Elle est complètement rasée. Natasha joue avec mes nerfs, sans même un regard. J’observe sa main, les doigts tendus, collés ensemble, qui montent et descendent le long de son petit fruit délicieux. Je vois briller le bord de ses lèvres. J’ai envie de la supplier de me détacher, mais je ne veux pas susciter sa colère. Sans cesser de de suivre la scène à l’écran, elle pose la tête sur l’oreiller et elle enfonce sans résistance deux doigts dans sa chatte. Elle aussi est très excitée. Encore une fois, je deviens fou. J’ai le goût de la baiser à lui en faire mal, mais ma position ne m’autorise rien. J’aurais envie de la traiter de salope et de gifler ses fesses tout en m’enfonçant dans son anus. Elle doit d’ailleurs l’avoir ressenti. Elle se redresse brusquement, en me dévisageant. — « T’aurais le goût de me baiser, hein? T’aurais le goût de t’enfoncer dans mon cul, pas vrai? »— « Oui, dis-je presque à bout de nerfs. Oui! »— « Mais, non. Toi, tu regardes. Tu dois te contenter de regarder! » À peine a-t-elle achevé sa phrase, qu’on cogne à la porte de la chambre. Je reste stupéfait. Ce doit être le patron du motel, ou bien un employé ou, encore, un voisin, je ne sais pas. Avec la tête, je fais signe à Natasha que je suis dans une drôle de position, mais elle ne me prête aucune attention. En plus, sans aucune gêne, elle se dirige vers la porte. ...
    ... — « Attends! », dis-je, en état de panique. Je n’ai presque plus d’érection, les rebondissements et les émotions se succèdent à une vitesse qui me dépasse. En entrouvrant la porte, j’entends une voix d’homme qui demande : — « Natasha? »— « Oui, c’est moi. Entre. » Je pense m’évanouir. Natasha légèrement vêtue ouvre la porte à un homme que je ne reconnais pas. Je suis nu et attaché devant lui. Je ne comprends plus rien. Mon cerveau cherche une justification. C’est inutile. Je voudrais parler mais j’en suis incapable et c’était ma dernière chance. En effet, de son sac, Natasha sort un bâillon qu’elle noue fermement à l’arrière de mon crâne. Je suis sonné. Non seulement, j’apprivoisais difficilement une nouvelle dimension, mais voilà, en plus, qu’une trappe s’ouvre sous moi et me précipite un étage en-dessous. Cette fois, la perte de contrôle est totale. Je me rends compte à quel point j’avais encore pied, il y a quelques secondes à peine. Même attaché, je me sentais du pouvoir. J’anticipais les prochaines actions. Mais, là, tous les repères me sont enlevés. Qui est cet homme qui me voit nu, attaché et bâillonné? Que vient-il faire ici? Je me sens démuni, contraint à l’inertie et au silence. Lorsque l’homme se déshabille, je comprends tout. Je voudrais crier, mais il est trop tard. Le bâillon fixé fermement ne laisse sortir de moi que des sons étouffés. J’ai les yeux écarquillés. — « Eh bien, quoi? Tu veux parler, mon amour?… », me demande Natasha, avec un sourire ironique. Je ...
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