1. Blue Horse Motel


    Datte: 15/02/2020, Catégories: fh, fhh, couplus, extracon, hotel, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, fouetfesse,

    ... suis hors de moi. Je veux que tout s’arrête tout de suite. Je suis enragé. Je me trémousse sur ma chaise et je finis par basculer sur le sol, ridiculement attaché à cette saloperie de chaise. Au comble de l’humiliation, Natasha demande à l’homme de me redresser puis, en s’approchant de nouveau, elle m’ordonne de me calmer. Je la dévisage, du feu dans les yeux. L’homme est très grand et musclé. Il a la carrure large. Son sexe au repos est énorme. Natasha l’a remarqué aussi. — « Mmmh, belle pièce d’homme. », dit-elle en s’adressant à moi. Elle caresse les pectoraux seyants de l’homme. Sûr de lui, il sourit. Il sait qu’il est beau, ce con! Alors, Natasha entreprend de masser son énorme sexe endormi. Doucement, elle le réveille. Tout en le faisant se lever, elle s’adresse à moi : — « Alors, mon amour, tu ne bandes plus? Regarde-moi bien, je vais t’aider un peu. Je te promets que tu ne le regretteras pas. » Décrire comment je me sens est impossible, tant je suis la cible d’un bombardement d’émotions contradictoires. Une rage intérieure, inconnue, me donne envie de tuer. Mon cœur bat tellement vite que je pense frôler la crise cardiaque. Natasha en rajoute : — « Mmmh, regarde cette bonne queue, t’aimerais ça que je la porte à ma bouche? » Je maugrée quelques sons de terreur incompréhensibles. Mon ventre brûle de trac et d’angoisse. Cependant, petit à petit, mon état d’impuissance a raison de ma révolte. Comme un cheval sauvage pris dans l’enceinte d’un rodéo, sous l’emprise ...
    ... d’un cow-boy obstiné, ma résistance se brise. J’écume, fatigué. Le trop-plein d’oxygène assaille mes poumons. Je dois me résigner à mon rôle de spectateur. Devant moi, je vois ma femme assise sur le lit, à côté de cet homme qui se tient debout, de profil à moi. Natasha glisse une main sous ses bourses et, de l’autre, elle tient son membre énorme. Il est beaucoup plus gros et large que le mien, même à son meilleur. Natasha porte le membre lourd à sa bouche. Elle en gobe une partie seulement, et avec difficulté. Je ne peux éviter la comparaison : Natasha est capable de m’avaler presque tout entier. Mais, là, malgré sa bouche généreuse ouverte au maximum et ses efforts pour aller plus avant, elle ne cache même pas la moitié du sexe de l’homme. Celui-ci laisse tomber la tête vers l’arrière. Il grogne de plaisir en regardant ma femme le travailler. Mais, du même coup, il confirme ce que j’ai toujours pensé moi-même: Natasha suce drôlement bien. Je ressens encore un soubresaut de colère, un élan destructeur de jalousie, qui me terrasse un instant. Puis, alors que la scène devrait m’achever ou me rendre fou, je sens monter en moi une terrible excitation. Je patauge dans l’inconnu, en plein paradoxe. Je penche la tête vers mon sexe. Mon érection est magistrale. Du moins… à ma mesure. Natasha l’a remarquée. — « Bon, dit-elle, ironique. Tu vas enfin pouvoir te laisser aller et profiter du spectacle » Après avoir bien léché le sexe de l’homme sur toute sa longueur, elle le regarde avec ...
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