Un voyage de noces
Datte: 21/09/2017,
Catégories:
fh,
voyage,
bateau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
attache,
aventure,
merveille,
... d’attaque. Je l’espère vivement et dans cette attente je me couche sur le dos et j’écarte les cuisses afin d’exposer ma toison aux chauds rayons du soleil, qui me font un bien infini. Nous sommes en vie et nous la ferons bientôt, la bête à deux dos, mais pour l’instant il nous faut dormir car nous sommes à bout de force. Pourquoi mon mari me chatouille-t-il ainsi sur tout le corps ? Et pourquoi m’avoir attachée ? Veut-il jouer au maitre et à l’esclave, comme le fait parfois le mari d’Élisabeth ? J’ouvre les yeux. Ce n’est pas lui qui me chatouille, ce sont quelques dizaines de très petits hommes totalement nus, eux aussi, qui marchent, rampent ou sautillent sur tout mon corps. Ils n’ont pas plus d’un demi-pouce de hauteur mais sont tout à fait bâtis comme des humains normaux. Ils ont tout ce qu’il leur faut, mais tellement petit ! L’un d’entre eux est assis sur mon téton droit et… oui, il se branle, comme dit Élisabeth, la délurée. D’autres explorent ma toison, veulent entrouvrir ma grotte, et se glisser en moi. L’un d’eux tente même d’enserrer mon clitoris entre ses bras minuscules. Ce n’est pas déplaisant du tout, mais que va dire mon mari ? Je tourne la tête. Il est attaché lui aussi, et de nombreuses petites femmes, nues elles aussi, sont partout sur son corps. Il faut voir comme il bande, maintenant ! Une de ces petites femelles est accrochée à son gland. Elle n’a pas pu l’escalader, il est bien trop imposant. Elle a dû monter peu à peu avec lui et maintenant elle a ...
... peur de tomber… Non, elle saute, les poils du pubis de mon mari amortissent sa chute, elle rit comme une folle. Mais voilà le sexe de mon mari qui s’abaisse, parce que quatre petites femmes tirent dessus avec des liens semblables à ceux qui nous clouent sur le sol. L’une d’entre elles chevauche son gland, les autres lâchent les petits câbles, la… bite puisqu’il faut l’appeler par son nom, la bite se relève et la petite espiègle se trouve alors projetée sur la poitrine de mon mari. Et ça recommence ! Chez moi, un petit homme barbote dans ma cyprine car je mouille, je mouille ! Je l’entends rire : — Oh ! la salope ! dit-il. Ils cherchent des orifices à leur mesure mais n’en trouvent pas. Puis l’un d’entre eux tente de glisser son membre entre mes lèvres. Je ne les entrouvre pas, ce sera réservé à mon mari, dès que possible, mais je sens que le petit homme se débrouille bien quand même car il crie qu’il va jouir, et qu’il jouit. Un autre se vide à son tour entre mes lèvres. Me prend l’envie de goûter sa liqueur. Élisabeth prétend que c’est un peu amer mais pas mauvais, et que cela fait tellement plaisir aux messieurs ! Là, il y en a vraiment trop peu pour que je me fasse une idée. Les voilà qui se battent pour atteindre ma bouche ! Celui qui serre mon clitoris entre ses bras intime aux autres l’ordre de cesser de m’importuner. Mais ils ne m’importunent pas, faut-il le lui dire ? Je n’en ai pas le temps car il ajoute que seuls ceux de sa tribu restent avec moi, et que les autres ...