1. Un voyage de noces


    Datte: 21/09/2017, Catégories: fh, voyage, bateau, Voyeur / Exhib / Nudisme attache, aventure, merveille,

    ... doivent aller jouer ailleurs. Ce doit être leur chef à tous, car ils obéissent et délaissent mes lèvres… enfin, je veux dire ma bouche, car ceux qui restent, une bonne dizaine quand même, se consacrent à mes lèvres du bas. — Je vais plonger, annonce leur chef, car il me revient de la dépuceler. Épongez d’abord car elle mouille ! Ils courent vers la forêt voisine et en reviennent avec des branches de pin qu’ils immergent dans ma chatte et les en ressortent pour les secouer sur mon ventre et mes seins. Ceux qui m’ont quittée ont rejoint d’autres petites femelles et les baisent avec acharnement, allongés sur le sable. À mon grand étonnement, je les vois changer fréquemment de partenaires. Et ils ne se contentent pas de faire la bête à deux dos, non, ils sont parfois tête-bêche, le mâle léchant la chatte de la femelle alors que celle-ci prend en bouche son membre apparemment infatigable. D’autres petites femmes sont à quatre pattes et les petits hommes les besognent avec vigueur, après avoir investi leur grotte ou… oui, leur petit trou ! Voilà qui est formellement interdit par l’Église. Mais ils se moquent bien de leur salut éternel, ils jouissent de la vie, eux. Quant à mon mari, il grogne, gémit, ahane. Son sperme gicle en abondance sur sa poitrine, les petites femmes s’en enduisent le corps en riant aux éclats. Elles le goûtent, paraissent s’en délecter. En restera-t-il pour moi ? — Rassure-toi, me dit le chef, il y en aura pour toi, mais plus tard, quand je t’aurai dépucelée. ...
    ... Je m’insurge : — Non, c’est mon mari qui doit le faire ! Et comment t’y prendrais-tu, d’ailleurs ? Tu es bien trop petit, mon ami, tu es bien trop petit, dame oui ! Vieille chanson du pays, qui me revient en mémoire… Mais c’est alors que retentit un cri strident. — Alerte, fuyons ! ordonne le chef. En un instant, tout ce petit monde disparait. Sous mon dos, le sol vibre, quelque chose de monstrueux s’approche. — Regarde ces drôles de petits êtres cloués sur le sable, comme ils sont comiques, dit une forte voix masculine. Une ombre obscurcit le ciel. Cela se penche sur moi. C’est un homme nu, mais d’une dimension démesurée. Ce que je vois en premier lieu, c’est un sexe qui pend au-dessus de deux bourses phénoménales. Puis un visage masculin qui semble bienveillant. — Je vais te délivrer, minuscule femelle. En un instant, les liens qui m’entravaient sont arrachés, une main gigantesque s’empare de moi, me soulève, me hisse au niveau de deux immenses yeux verts. — Tu serais bien baisable, toi, si tu étais plus grande ! Et le géant éclate de rire. — Moi je m’intéresse au petit mâle, dit une voix féminine. Une géante, nue elle aussi, se penche sur mon mari et s’extasie : — Oh ! Il bande ! Comme c’est amusant !— Ne lui fais pas de mal !— Je m’en garderai bien.— Ils semblent être faits tout comme nous, mais si petits !— Il a de minuscules couilles et une bite bien mignonne. Mais que pourrais-je en faire ?— Elle a jolis seins. Ses tétons durcissent quand je les frôle, et une mignonne ...