Underground - La Cave
Datte: 18/02/2020,
Catégories:
fhhh,
voisins,
copains,
nympho,
Oral
fist,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
uro,
scato,
exercice,
... vagin se desserre un peu, je ne tente pas le Diable, je ne bouge plus, il n’en faudrait plus beaucoup pour que je vide ma substance dans ce con bouillant… Barbara retient sa respiration, elle attend visiblement une suite. Stéphane ne se fait pas prier, il colle littéralement sa bouche sur l’énorme clitoris dardé, il l’aspire, le malmène du bout de la langue. Là, Barbara se déchaîne, elle hurle, elle s’arc-boute, elle frissonne, elle tremble, son vagin aspire et avale ma bite sans que j’y sois pour rien et je me sens soudain broyé par l’intérieur tout frétillant et toujours aussi brûlant. Nicolas gémit. Dans le cul de Barbara, il doit être à la fête ! À travers la paroi, je sens sa queue qui s’anime, je perçois les soubresauts qui annoncent sa proche délivrance. Je repousse d’une main la tête de Stéphane et je m’enfonce avec force, jusqu’à la garde, mon plastron vient claquer contre la vulve éclose de la donzelle. — Raaaah ! Le cri étouffé de Nicolas et les spasmes dans sa queue annoncent qu’il est en train de lâcher son jus, immédiatement suivi par une longue plainte aiguë de Barbara cependant que ses hanches amorcent des mouvements de rotation, comme pour happer encore plus de foutre au fond de son rectum. Je ne résiste pas plus longtemps : une décharge surpuissante m’électrise des pieds à la tête, je me sens jaillir, jet après jet, je sens ma queue massée, aspirée dans la chatte trémulante. Son ventre, jusque-là tendu comme un tambour, se relâche et… — Mais !? Qu’est-ce’tu ...
... fais ? Je crie de surprise en la repoussant, mais c’est déjà trop tard : Barbara vide sa vessie d’un jet puissant contre mon ventre, et mon exclamation indignée n’y change rien : elle continue à me pisser dessus, les abdominaux tendus, elle arrose mon sexe déjà déclinant. — J’avais dit qu’j’avais envie… elle dit, comme pour se justifier en faisant un effort visible pour arrêter son flux.— Ben, fallait prévenir ! je lui fais en m’agenouillant. Va-z-y, finis ! je dis en posant mes lèvres sur sa chatte. Elle ne se fait pas prier, elle se cambre, et j’ai soudain la bouche remplie de son urine chaude et odorante qui déborde et dégouline le long de mon menton, dans mon cou et s’accumule dans l’assise du fauteuil, sous les fesses de Nicolas dont le sexe commence à se dégonfler malgré les palpitations des sphincters qui l’entourent. Barbara finit de se soulager, remue du séant et éjecte le sexe de Nicolas d’une contraction de son anus qui apparaît alors largement ouvert, brillant et dégoulinant de pisse et de sperme. Je contourne Barbara, repousse sa tête en arrière, je pose mes lèvres sur sa bouche et, en jet fin comme elle avait tenté de le faire tout à l’heure avec David et le whisky, je libère son urine de ma bouche à la sienne. Ses yeux rient. Lorsque j’ai fini, elle ferme la bouche, tend la main derrière sa tête, elle retrouve à tâtons le phallus de David, le saisit, l’attire à elle, et devant ses yeux médusés, elle en prend le gland dans la bouche, gonfle et dégonfle les joues ...