1. Underground - La Cave


    Datte: 18/02/2020, Catégories: fhhh, voisins, copains, nympho, Oral fist, double, Partouze / Groupe fsodo, uro, scato, exercice,

    ... ils sont majeurs, ils font ce qu’ils veulent de leurs culs, vingt-cinq ans d’écart n’y font pas vraiment de différence. En passant devant les chiottes, j’attrape un rouleau de papier-toilette et je traîne Barbara plus que je ne la porte jusqu’à la chambre de Ronan, son keum, une chambre de garçon à la tapisserie bleu foncé, avec des peluches et des jouets divers qui guettent du dessus de la penderie et un petit bureau en aggloméré en désordre sous la fenêtre. Je la laisse tomber lourdement en travers du lit à barreaux blancs, je lui enlève ses chaussures encore délacées et les rejette derrière moi au milieu de la pièce, je défais son bouton de pantalon et, mécaniquement, elle lève les fesses quand je tire dessus, je propulse le jean puant en tire-bouchon au pied du lit en retenant ses jambes sur mon épaule. Avec application, je torche Barbara délicatement comme un gros bébé inconscient, jetant le papier souillé dans la corbeille au pied du lit. Une fois le gros enlevé, faute de lingettes idoines, je crache sur son anus pas encore complètement tout à fait refermé et je fais disparaître les dernières traces de merde de son cul. Ensuite, je lui lève les pieds bien haut, j’ouvre les draps, je la fais pivoter et la recouvre avec douceur, je la borde presque paternellement. — Tu vas dormir, maintenant,’faut qu’tu t’reposes… je lui souffle à l’oreille. Elle me répond d’un grommellement inintelligible en ...
    ... enfonçant profondément son occiput dans l’oreiller mais, alors que je vais pour me relever et partir, dans un dernier sursaut de lucidité, elle se retient à mon cou et murmure à mon oreille d’une voix déjà endormie : — P’tain, qu’est-ce que vous m’avez mis, j’ai encore l’impression qu’vous êtes encore « dedans », tous, tellement ça bouge encore, en bas, là, partout… Ça coule encore… Là-dessus, elle se laisse retomber dans son oreiller. Je pose délicatement un baiser sur ses lèvres, elle n’y réagit pas. Elle dort déjà. Je me relève, extrais ses sous-vêtements de mes poches, les jette sur le tas de vêtements souillés et, à reculons, je tâtonne, j’éteins la lumière et je sors de la chambre de Ronan. En quittant l’appartement, je fais un signe de main à l’adresse de Nathalye. Elle est vautrée devant la télé dans le canapé en skaï du salon avec Christophe à ses côtés et Nicolas, son fils, se prélasse dans le fauteuil. Dans un brouhaha indistinct, ils me répondent d’un « Salut ! » distrait, sans me regarder. Je sors de l’appartement et regagne mes pénates à l’étage du dessous par les escaliers, lentement, une marche par une marche. Je suis crevé. Quelle journée ! Dehors, le jour commence à décliner. La pluie continue de tomber. Rappelle-toi, Barbara, Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-làEt tu baisais, souriante,Épanouie, ravie, ruisselante,Rappelle-toi, Barbara, il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là. 
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