1. Underground - La Cave


    Datte: 18/02/2020, Catégories: fhhh, voisins, copains, nympho, Oral fist, double, Partouze / Groupe fsodo, uro, scato, exercice,

    ... saisissant la base du fauteuil. Quelques minutes plus tard, alors que je verrouille la porte, Stéphane me demande : — Et pour la pisse et la « galette », on fait quoi ? Clairement, j’ai un peu la flemme…— Bah, c’est cadeau pour la femme de ménage, elle a l’habitude, c’est pareil tous les lundis… je lui réponds. Une de plus ou d’moins… À ce moment, du bout du couloir, David et Nicolas s’exclament avec des voix horrifiées : — Ah, putain, la sale merdeuse ! Stéphane et moi courons les quelques pas qui nous séparent d’eux. — Qu’est-ce qui se passe, encore ? il fait.— Bah, elle a chié dans son ben’, la grosse truie… lui répond son frère en se pinçant le nez. * * * Je sonne. Barbara se retient avec difficulté à mon cou, pantelante, les yeux clos, à la limite de la conscience – si je peux appeler ça de la conscience ! Elle souffle : — Tu risques d’attendre longtemps, ils doiv’encore être au pieu, à c’t’heure…— Je sais pas… T’es sûre qu’elle est là, Nath’ ? Comme pour me répondre, un point lumineux apparaît dans le judas, et la voix pâteuse de la mère de Ronan interroge à travers la porte : — C’est qui ? Une ombre passe dans le judas. Je me redresse, comme dans un photomaton, mais Barbara pèse sur mon épaule et je me sens tout tordu. Qu’importe, Nath’ m’a reconnu, elle a aperçu sa future belle-fille et elle pousse un cri horrifié : — Ba’! Ma pauv’ fille ! Qu’est-ce qui… ? La porte s’ouvre largement sur la mère de Nicolas et Ronan, simplement vêtue d’un négligé en faux satin qu’elle ...
    ... retient presque fermé d’une main plaquée sur son ventre rebondi. Son visage exprime l’inquiétude un instant mais change du tout au tout lorsqu’elle sent et qu’elle comprend, en à peine une seconde, qu’il n’y a, apparemment, rien d’autre qu’une méchante cuite et là, elle prend un air complètement dégoûté. — Eh ben, ma pauv’ fille, dans quel état tu t’es encore fourrée ! Je souris intérieurement. Elle aurait bien du mal à admettre à quel point « fourrée » est en deçà de la vérité… Histoire de minimiser la gravité de l’état quasi comateux de la petite amie de son fils, je lui fais remarquer : — Ah, ben non, c’est pas aussi pire qu’à la teuf de ses vingt ans… Tu t’rappelles ? je lui dis avec un air entendu.— M’en parle pas… L’avait fallu brûler les draps… M’enfin, c’est pas une raison… Se mettre dans des états pareils… Allez ! Va la fout’ au lit, plutôt ! elle dit en s’effaçant pour me laisser le passage vers le couloir et la chambre de son fils – et de sa presque-bru. Dans l’étroit couloir, je croise Christophe, mon neveu, la taille presque entourée d’une serviette microscopique dont il retient deux extrémités entre le pouce et l’index sur sa hanche, ce qui met un peu plus en valeur sa silhouette longiligne, quasi décharnée. — Qu’est-ce que tu fous là, Chris’, je lui fais.— Bah, t’inquiète, y a pas d’mal… il fait, goguenard, en venant entourer la poitrine de Nathalye de ses longs bras squelettiques. Elle glousse, Christophe lui picore un baiser, je hausse les épaules : après tout ...