1. Underground - La Cave


    Datte: 18/02/2020, Catégories: fhhh, voisins, copains, nympho, Oral fist, double, Partouze / Groupe fsodo, uro, scato, exercice,

    ... Abara… Arbara… Pfff !— Abraracourcix, je lui souffle, mais lui, l’était d’bout sur un bouclier, toi…— Pfff ! M’en fous ! elle glousse en se trémoussant.— Ouais, ben arrête de tortiller, t’es lourde, là, Chérie ! fait Nicolas, faussement exaspéré. Pendant ce temps, David a ouvert la porte des caves et nous invite à entrer dans les entrailles de l’immeuble, faiblement éclairées par des ampoules sous-dimensionnées. Il y règne une odeur persistante de moisi, d’eau croupie et de poussière de béton. Stéphane ferme la marche, toujours aussi renfrogné. De couloirs en allées sombres, nous arrivons enfin devant la porte de ma cave « ornée » de nombreux tags multicolores et bigarrés. — Attends, j’ouvre… je dis en relâchant Barbara. Elle ne me répond pas, elle pivote, laisse glisser son postérieur contre le bas-ventre de Nicolas qui la retient encore par dessous la cuisse, elle se frotte le corsage à deux mains, les yeux mi-clos, en soupirant d’une façon qu’elle doit supposer très excitante. Je cherche mes clés au fond de ma poche. Nicolas se recule en plaçant ses mains sur la ceinture de Barbara, il l’attire à lui contre le mur en béton grisâtre alors que David s’approche rapidement, tend les bras, passe ses deux mains sous son pull rose pastel et entreprend de lui malaxer les seins avec empressement. Pourtant, elle semble apprécier cette apparente maladresse, car elle se cambre encore plus, plaquant sa poitrine un peu plus fort contre les mains de David, son cul encore plus au contact ...
    ... de la queue de Nicolas, queue qui n’a pu que se réveiller sous l’effet des reptations du postérieur de Barbara. J’ouvre la porte de ma cave et, dans le noir le plus complet, je pars à la recherche de mon fauteuil. — Quelqu’un peut me filer un coup de main ? j’appelle, l’ayant trouvé sans difficulté.— J’arrive, fait Stéphane, dont la silhouette trapue s’encadre dans le chambranle de la porte. Il nous faut plusieurs minutes pour pousser, tirer, tourner le volumineux fauteuil qui, naguère, trônait au milieu de mon salon, un imposant fauteuil en cuir vert amande auquel cette capacité à se déplier presque jusqu’à l’horizontale vaut l’appellation convoitée de « relax ». Hors de la cave, personne ne s’est donné la peine de ré-enclencher la minuterie, si bien que la seule lumière qui nous éclaire ne provient plus que d’un malheureux vasistas sale de l’autre côté du couloir. D’ici, nous ne percevons plus que des gémissements étouffés de Barbara. — Qu’est-ce qu’ils branlent ? je demande à Stéphane. Il me répond avec un haussement d’épaules, toujours bougon : — Qu’est-ce que tu veux que ça me foute ? C’est son cul, après tout ! Si elle a envie de se faire tirer, c’est son problème… il dit en faisant pivoter le fauteuil une dernière fois pour le laisser retomber lourdement devant l’entrée de la cave.— Ouais, ben r’garde, plutôt… Nos yeux déjà accoutumés au noir presque complet de la cave n’ont aucun mal à détailler la scène qui se déroule devant nous : Nicolas, appuyé contre le mur, est ...
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