1. Les Templiers - Épisode 2


    Datte: 21/09/2017, Catégories: fh, fhh, jeunes, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Partouze / Groupe historique,

    ... redevenu roi et non un simple rustaud craignant d’être fait cornard. Je suis reine et duchesse, souviens-t’en ! Sur ce, chacun regagna ses appartements. Le sort en était jeté, Louis ne pouvait plus longtemps laisser sa femme l’humilier publiquement. Elle le suivrait. Par la force si besoin, sa décision était prise. Il laissa passer quelque temps puis se décida. Nuit du 3 au 4 mai 1148 Dans le plus grand secret, trois hommes sont réunis. Il y a là le Grand Maître de l’Ordre et deux chevaliers : Amaury et Godefroy. — Le roi a gardé en souvenir qu’il vous doit la vie. Il est sûr que votre vaillance n’a d’égale que votre droiture. Il m’a demandé de vous charger d’une mission d’importance. Et qui doit rester secrète.— Notre vie et notre épée sont au service de l’Ordre, non du roi. Mais nous ne faillirons pas. De quoi s’agit-il ?— Rien moins qu’enlever la Reine et l’amener au campement royal sis en dehors des murailles de la ville. L’ost se prépare à gagner Jérusalem. Amaury hésite entre le rire et l’indignation. Godefroy prend la parole : — C’est là comédie indigne de notre fonction ! Et c’est faire outrage à la reine. Le Grand Maître leur jette un regard sévère : — Vous avez juré obéissance. C’est un ordre. Il ne vient pas du roi. Il vient de moi. Les deux garçons baissent la tête. — Nous respecterons notre vœu. Mais comment faire avec la reine ? Elle ne peut être traitée comme une prisonnière.— Mes garçons, Dieu saura vous éclairer. Mais gardez en tête ceci : elle est reine, ...
    ... ses désirs sont des ordres. Allez et que Dieu vous bénisse. Alors que les deux jeunes templiers prenaient congé, Amaury aurait juré avoir vu, l’espace d’un instant, un sourire amusé se dessiner sur les lèvres du Grand Maître. Dans les heures qui suivirent, l’affaire fut prestement menée. Alors qu’elle dormait, heureusement seule, et couverte d’une fine chemise, Aliénor se retrouva brusquement bâillonnée et entravée, yeux bandés, une cape jetée sur les épaules. Ses protestations étouffées ne servirent à rien. Elle se laissa faire et conduire en dehors du palais princier. Brusquement ses liens furent coupés, son bandeau ôté. Elle cligna des yeux pour deviner dans l’obscurité l’identité de ses mystérieux agresseurs. Amaury et Godefroy étaient admiratifs. Elle montrait de la curiosité plutôt que de la peur. Pas de doute, elle avait du cran. Sa voix était calme, mais ferme, celle d’une reine. Leur reine. — Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ? Savez-vous seulement qui je suis ? Ils s’inclinèrent avec respect. — Majesté, nous sommes tous deux au service du Temple et du Roi. Il vous a fait mander et nous avons été chargés de vous amener à sa tente, sise en dehors de la cité. Pardonnez la rudesse du procédé, mais il nous fallait agir avec célérité.— Je reconnais bien là la maladresse de mon époux. Et comment allons-nous nous rendre là-bas ? Godefroy lui montre son cheval. — Majesté, je vous laisse loisir d’utiliser mon palefroi, c’est un compagnon obéissant et loyal. Amaury rétorque ...
«1234...»